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Inky

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Messages posté(e)s par Inky

  1. Le "vrai" problème c'est pas plutôt l'eau qui pourrait s'infiltrer par en dessous ? C'est-à-dire non pas tant celle qui tombe, pour laquelle le corps du wheeler fait déjà partiellement parapluie, que l'eau qui est par terre (et qui continue à l'être même quand il a fini de pleuvoir) et qui est projetée par la force centrifuge du pneu dans l'intérieur du carénage.

  2. Hello,

    Je reprends mon sujet posté sur le forum Urban car il avait beaucoup intéressé la communauté et il pourrait en être de même ici. :)

    Je n'utilise pas de "range roue", j'ai fait un petit bricolage directement sur la roue elle-même, ce qui me permet de la poser à côté de moi sur le quai pendant que j'attends le RER sans avoir besoin de me fatiguer le bras ou les jambes à la maintenir "debout" (le fait de la poser couchée sur le sol où traînent des chewing gums, crachats, excréments de pigeons et autres saletés ne me tente vraiment pas, curieusement !!!)

    Il s'agit de 2 morceaux de tige filetée diamètre 10 qui remplacent les vis (j'ai ajouté des boulons pour maintenir quand même ma poignée trolley en place), avec des petits embouts (rayon Piètements chez Casto) pour éviter qu'ils puissent griffer jambes ou pattes de pantalon en situation de promiscuité (dans le RER) ou les plastiques du véhicule quand je la transporte en voiture.

    Du coup ça fait une sorte de "béquille fixe permanente", il suffit de pencher un peu la roue en arrière pour qu'elle se trouve suffisamment stable en appui sur le triangle formé par les 2 embouts et le point de contact du pneu au sol. Noter que les tiges filetées ne dépassent tout de même pas de trop pour éviter de racler lors des descentes de trottoirs.

    Je ne suis pas un as du bricolage, mais ça c'est vraiment d'une simplicité à pleurer et ça fait plutôt bien le job. :-)

    20160705_115031.jpg

    Voici un plan plus large qui permet de voir la roue en configuration :

    20160706_094013.jpg

    Pour ceux qui pourraient se poser la question, on peut même allumer la roue alors qu'elle est dans cette position. En fait elle s'allume et reste juste immobile (toujours penchée en arrière reposant sur sa béquille), en attente qu'on lui donne une impulsion dans un sens ou dans l'autre, tout comme si je l'avais allumée bien à l'horizontale. Elle ne part pas toute seule en avant, ne s'arrête pas, ne bippe pas... Juste elle attend.

    Et quand je la redresse depuis sa position au repos sur béquille, toujours moteur allumé, eh bien pareil, elle ne bronche pas, elle reste là à attendre intelligemment qu'on y aille "pour de vrai". C'est un sans faute ! :merci-6:

     

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  3. Je n'utilise pas de "range roue", j'ai fait un petit bricolage directement sur la roue elle-même, ce qui me permet de la poser à côté de moi sur le quai pendant que j'attends le RER sans avoir besoin de me fatiguer le bras ou les jambes à la maintenir "debout" (le fait de la poser couchée sur le sol où traînent des chewing gums, crachats, excréments de pigeons et autres saletés ne me tente vraiment pas, curieusement !!!)

    Il s'agit de 2 morceaux de tige filetée diamètre 10 qui remplacent les vis (j'ai ajouté des boulons pour maintenir quand même ma poignée trolley en place), avec des petits embouts (rayon Piètements chez Casto) pour éviter qu'ils puissent griffer jambes ou pattes de pantalon en situation de promiscuité (dans le RER) ou les plastiques du véhicule quand je la transporte en voiture.

    Du coup ça fait une sorte de "béquille permanente", il suffit de pencher un peu la roue en arrière pour qu'elle se trouve suffisamment stable en appui sur le triangle formé par les 2 embouts et le point de contact du pneu au sol. Noter que les tiges filetées ne dépassent tout de même pas de trop pour éviter de racler lors des descentes de trottoirs.

     

    20160705_115031.jpg

    20160706_094013.jpg

     
     
  4. Pour ma part, à partir du moment où on est sur la roue on est debout et les pieds bougent plus trop. Donc je ne vois pas spécialement une importance déterminante aux chaussures qu'on porte.

    Je porte les chaussures qui sont adaptées à la météo du moment ou à ce que je vais faire quand je ne serai PAS sur ma roue. Alors grosses chaussures imperméables l'hiver (un peu style rando), tennis légères en demi-saison, et sandales ou claquettes en plein été. ;)

    Aucune différence notable sur la sensation de sécurité ou le confort de conduite, excepté pour mes claquettes quand je commence à rouler depuis vraiment longtemps, ça finit par faire mal sous les pieds. Mais ça m'a déjà fait le coup avec des chaussures fermées, donc c'est pas lié aux godasses mais au fait de faire des kilomètres sans pauses.

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