sbouju Posté(e) le 3 mars 2018 Partager Posté(e) le 3 mars 2018 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Techos78 Posté(e) le 3 mars 2018 Partager Posté(e) le 3 mars 2018 Sur avion, on mesure la vitesse air à l'aide de deux tubes de Pitot, l'un vers l'avant (mesure de la pression dynamique), l'autre sur le côté (pression statique). On met ça dans une équation, avec la température et l'âge de l’hôtesse, et on a la vitesse... tant que les tubes ne sont pas givrés (accident dramatique). Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
sbouju Posté(e) le 3 mars 2018 Auteur Partager Posté(e) le 3 mars 2018 En voilier également, j'y pense, grâce à divers capteurs passe-coque pour le speedomètre, et dont certains doivent bien avoir une hélice toute bête pour la mesure Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Techos78 Posté(e) le 6 mars 2018 Partager Posté(e) le 6 mars 2018 On ne mesure jamais une vitesse absolue, mais une vitesse différentielle par rapport à autre chose qui sert de repère. Pour un véhicule terrestre, la vitesse par rapport à l'air n'est pas franchement utile ou raisonnable... Pour la vitesse absolue, ça se complique, sachant que la terre tourne comme une patate, sur elle même, autour du soleil, le plan de l'écliptique tourne sur lui-même et autour du centre de la galaxie, on va bientôt télescoper la galaxie d'Andromède (c'est pas pour demain), le groupe local bouge... etc. Une vitesse absolue de l'ordre de 600 km/s est envisageable... 1 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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