C'est eux qui manipule tout ça à distance. 😄

C'était moins visible apparemment 😊

tu peux toujours télécharger et leur envoyer le log. Attention, j'ai mis du temps à comprendre, mais la roue doit être allumée et sur la béquille.

Réservoir vide 🤔 Après, je pense qu'elle vont coulées. Le container, n'est pas resté longtemps à flot.. Après il coule 😂😂

Waouh, vous avez donc troqué vos roues respectives pour des vieilles Ninebot One Z et rajeuni de 20 ans à force d'entraînement pour cette rando ? Trop forts les gars !😉 ... ou plutôt merci Lia 😄

J'avais rdv avec eux a 9h20 pour telediagnostic et calibration. Jamais réussi a me connecter a leur service via l'application... ca restait sur une page blanche. En revanche, comme souvent avant d'aller chez le docteur, la maladie disparaît... ma batterie s'est chargée a 100% 136v ce matin, sans soucis...

La courbe vue par EUC World

Les bouchons en bas des suspensions sont particulièrement exposés. D'ailleurs IM a essayé de les protéger sur la V11Y. Pour du vrai off-road, il ne faut aucune mécanique sous les pédales.

+1. En effet, tous nos chargeurs standards ont un double effet Kiss Cool, d'abord une charge à courant constant, puis, une charge à tension constante. Et donc la puissance injectée est en forme de chapeau chinois, une rampe montante linéaire puis descendante exponentielle. Notons qu'à la fin il reste toujours un chti courant, d'environ 40 ou 80 mA selon le nombre de packs, à cause du bypass d'équilibrage. Certains chargeurs "élaborés" coupent en fin de charge, ce qui n'est pas forcément une bonne idée. Quand on est particulièrement pressé, dans la première zone on peut charger à puissance constante. Dans ce cas, l'électronique fait le calcul P=U.I et gère U pour maintenir P constant. Faire une fonction multiplieur n'est pas très facile en analogique, mais il y a des ampli opérationnels dédiés à cela. On peut aussi implémenter un grigri en firmware, ce qui oblige à coder U et I... C'est comme on veut...