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j'avais changé le trolley (pas ma première fois, 3ème au moins), mais quelques temps après au démarrage, avant même que je monte dessus, elle se coupe de temps en temps. çà m'a surpris, et je me suis dit que j'allais regarder, voir resserrer des visses du trolley, pourtant quand je l'ai remonté, je teste et je n'avais pas eu de problème, sinon qu'il avait été plus difficile à calibrer pour que le coupe circuit fonctionne bien, et puis le boudiboulgomme de truc noir, qui faisait pas très pro. Ma précédente roue si elle avait d'autres défaut de jeunesse n'avait pas celui-là. Quoiqu'il en soit quelques temps plus tard, j'ai eu ces coupures intempestives, mais juste au démarrage, aucun problème en roulant. C'était vraiment quand je l'a démJarré à froid le matin. Je ne m'étais pas inquiété plus que çà parce-que çà n'arrivait pas tous les jours, ni tout le temps. Puis un jour un imbécile qui traverssait la route avec sa femme, se place au beau milieu de la piste cyclable à 50 metres de moi, largement le temps pour passer, sa femme était d'ailleurs passé. Il se toune vers moi, alors que la piste cyclable est bordée, j'avance dans sa direction tout en ralentissant, il avait largement le temps de passé, et j'atais bien à moins de 10 kimh à 50 mètre de lui. Je suis arrivé à sa hauteur quasiment au pas, j'aurais pu mettre la main sur son épaule, sans que ni lui ni moi ne tombe. C'est ce que j'ai voulu faire du reste quand je suis arrivé à sa hauteur. C'est à ce moment là qu'il a décidé de sauter sur le trottoir et que ma roue à coupé. Je me sius mangé même pas le bitume, mais la pierre, il me semble. Les dents de la machoire  avant se sont redréssé vers l'interieur de la bouche, je me suis pris un coup sur l'arcade. Peu après quand je me suis relevé, j'ai d'abord rampé sur le sol, pour éviter d'éventuel cycliste qui pourrait arriver dérrière moi, mais il y avait déjà foule autour de moi. Je me suis assis un peu plus loin, pour reprendre mes esprits. L'imbécile s'est mis à côtès de moi ainsi que sa compagne. Il dit à sa femme tu vois il n'a rien. Je me retourne vers eux, et la femme a un cri d'effroi, j'avais la moitiè du visage écrasé, en sang, et le nez éclaté, je l'ai compris plus tard une fois chez moi. Alors que sa femme l'engueuler, "tu as vu ce que tu as fait !", le type s'enfuit en la tirant par le bras, et en lui disant qu'il ne pouvait pas assumer que pour un coup pareil il pourrait bien devoir le payer jusqu'à la fin de sa vie. Une femme entre-temps qui avait assister à la scène et appeler les pompiers, l'avait prévenu avant l'incident qu'il ne faut pas jouer avec çà ( les roues ) c'est dangereux. Je pourrais encore continuer, la suite est épique, et pas piquer des hannetons. Ce devait être mon jour, ou pas finalement. Une fois dans la voiture des pompiers, un type me s'occupe de moi, alors que probablement deux autres conduisent. Il me demande mes papiers ou ma carte vitale, je  ne sais plus, je vais pour lui donner ma carte vitale, mais il me demande mon portefeuille. Il regarde s'il y a de l'argent, puis me jette un regard dégouter ( c'était bien leur veine, intervenir en plein paris et ramasser un type fauché ). Une fois arrivé à l'hopital, après m'avoir dépossé à l'entrée des urgences, le pompier tend mon portefeuille à un aide soignant, qu'on aurait pu prendre pour un médecin, tant sa blouse était brillante. Je comprendrait rapidemment pourquoi. Le pompier en tendant le portefeuille, lui dit : "j'ai regardé, il n'a rien". A ce moment l'aide soignant s'empare du portefeuille est fouille à son tour. Il s'aperçoit qu'il y a une fermeture éclair à l'arrière du portefeuille, il hésite croise mon regard, et décide de l'ouvrir. Je venais il y a 2 semaines de retirer de l'argent. il éxulte, s'empare des premiers billets, puisi dit à mais il y a plus que 30 eurso là. Puis il va pour les mettre dans sa poche, je le vois, je n'ose bronché, je suis un peu sonné et après la beigne que je me suis pris, je ne suis pas sûr que je survivrais s'il m'en mettais une autre. Mais je regarde dérrière lui, en fait je me rend compte qu'il fait le moins de mouvement possible, pour que ses gestes ne soient  pas vu par la caméra. A ce moment là, arrive un de ses collègues, qui crie "A moi aussi je veux ma part !". mon voleur dit "tu l'auras !" et replace 2 billets dans mon portefeuille tout en me disant que c'est pour son collègue, c'est vrai qu'au début je me suis demandé si mon voleur n'était pas un mèdecin, et s'il ne se payait pas sur la bête bléssée. "Les billets sont pour mon collègue !" sur le coup, je ne suivais plus trop, mais c ce que je comprendrais plus tard. J'étais en train d'écouter son collègeu, qui a son tour "Pas grave, tu vas voir ce que je vais lui prendre !". Le collègue en question amène le brancard dans une pièce avec une sorte de command center au milieu où doivent se trouver les médecins. Une fois assis, j'aperçois ma roue sous le brancard, et le collègue qui s'appête à partir tout en feignant n'avoir pas vu la roue.  Je le hêle, "Et la roue !" à contre coeur, il l'extrait de dessous le brancard et me l'apporte, puis il s'agenouille comme s'il attendait quelque chose. Dans mon esprit de toutes les façons je n'avais plus d'argent et je ne vais pas gratifier des voleurs. Il s'en va. Mais je le regarde d'un regard plein de reproche, imaginant une pauvre vieille dame ou ma mère, non seulement malade ou à l'agonie et qu'en plus on va dépouiller.  Il me dit tout en s'éloignant, "fait attention, ici il y a des seringues qui disparaissent !" Un mèdecin, intrigué avait suivi toute la scène,  il s'était rapproché de nous et il dit à mon deuxième apprenti voleur "Alors maintenant on menace les patients ! ". Ce à quoi il répond "Mais non c'est lui dehors !, il lui a pris son argent, moi je voulais ma part !" le mèdecin "Et en plus on le vole ! amène moi à celui qui l'a volé." arrivé à sa hauteur il ordonne à celui qui m'a pris mon argent de vider ses poches.  Il en sort des liasses de billet qui tombent au sol.  Le mèdecin : "je comprend maintenant cette blouse si blanche ! " le voleur "Si tu veux on partage !" le mèdecin "Non, là c'est trop grave." Le voleur s'enfuit, le mèdecin "pas la peine on a ton adresse sur les fiches de paye !"  Au second aide soignant, il dit "je vais m'occuper personnellement que l'on te donne une prime pour avoir dénoncer ton collègue ! çà te va ? " "Et on ne menace pas les patients .. " je vous épargne le reste. Mais mes soucis ne se sont pas arrêté là. J'ai eu droit à des points de suture, j'avais plutôt bien repris mes esprits. Une dame et sa fille était assis à côtès de moi, tandis qu'une autre commcer à faire du foin, parce-qu'on ne lui disait rien et cela commencait à durer. J'ai voulu lui dire que cela ne servait rien de crier, mais je me suis rendu compte qu'elle ne m'entendait pas, et j'ai parlé plus fort. Elle s'est assise puis a attendu calmement. Seulement le fait que j'ai parlé fort n'a pas plu aux mèdecins dans le command center, à peine les points de suture posé, ils m'ont invité à quitter les lieux. L'un des mèdecins avait même dit, il est vif, il peut rentrer chez lui par contre demain il aura le contre coup. Je suis rentré chez moi à pied. Je devais être à un plus de 1 km de l'hôpital.  Le lendemain, j'ai vu ma gueule, je ne pouvais plus vraiment bougé, si je bougeais la tête à droite, c'était comme si je déclencher une centrifugeuse dans ma tête. Après presque 2 jours allongé, j'ai rampé pour me faire un peu à manger. Mon nez était éclaté, mes dents étaient comme si j'avais pris un bolldozer, seraient les unes contre les autres comme jamais. Je me suis dit que si je m'y prenais bien, alors que mon nez n'était pas vraiment douloureux, tout le cartilabe explosé à l'intérieur, je pourrais le redresser en y mettant deux doits, les plus droits possible, je ferais peut-etre l'économie d'une chirurgie faciale. En fin de semaine j'ai pu lever et je suis allé aux urgences, puis on m'a envoyé faire une radio, entre temps on m'a dit qu'ils auraient du faire çà dès le premier jour, et non pas presqu'une semaine après : "C'est le  protocole !" J'ai oublié de raconter ce qu'il s'est passé en sortant de l'hopital la gueule en sang et un chiffon sur la tête qui ne tenait même pas en place. J'ai effrayé toute l'entrée des urgences "Et on le laisse partir comme çà !" "Ah je ne vais pas rester 5 minutes de plus dans cet hopital !" Bref, j'ai mon scanner du crâne, la dame, une géante noire, vraiment très gentille. En partant j'ai voulu lui serrer la main pour la remercier, mais pour cela il me faut regarder pour chercher sa main. Et là ! 2 mains qui se tendent à moi et je me vois avec 4 pieds.  j'ai la trouille de tomber au sol, je ne sais plus quelles pieds me portent ! il y en a 4, j'ai une démarche qui doit s'apparenter à une sorte de danse, Mais je me suis déjà fracassé la gueule une fois, je n'ai pas envie de remettre le couvert. Ce qui me rassure c'est malgré ou grâce à cette dans, je ne tombe alors je poursuit, et au final je n'ai même pas sérré la main à cette dame si rassurante et si gentille.  Je l'entend dérrière moi, elle croit que je me moque d'elle. Peu importe je veux m'en aller, je ne sais pas ce qu'il se passe. Je le comprendrais plus tard, j'aurais casser le plancher d'un de mes yeux, du coup la vision est décalé, et au lieu de voir 2 pieds, avec mes 2 yeux, chacun de mes yeux voient 2 pieds à 2 endroits différents. Le bordel, quoi !  Je ne sais pas si les radiologues n'ont pas fait un rapport, précisant qu'ils ne pouvaient pas éliminer l'hypothèse d'une simulation, ils parlaient de çà alors que je partais. Il me faudra au moins 15 jours pour me remettre de ma danse, qui m'a fait très mal au bassin. Et par la suite j'ai évité pendant quelques temps de regarder vers le bas, sinon pour voir s'il y avait quelques  progrès. Aujourd'hui je vois un peu flou. Ils ont voulu m'opéré à plusieurs reprises, mais la distopie a diminué au fur et à mesure.  

Essai de la V12S par Duf :  On notera un léger wobble d'appréhension lorsqu'il se trouve dans la circulation automobile. 

A cause de quoi le cut, pas à cause du coupe-circuit du trolley j'imagine ? Sur la mienne ça a recommencé à déconner, j'ai préféré désactiver le coupe-circuit carrément...pas envie d'avoir de mauvaise surprise juste pour m'éviter d'éteindre la roue avant de la soulever.

Oui absolument, une réflection que je le suis faite plusieurs fois mais avec les roues actuelles c’est plus vrais que jamais.. On est loin du trajet boulangerie pour mumuse. Tu a fait une distance équivalente, et en plus entourée de deux gros jours, sans suspensions ca aurais été très (trop?) rude.. (d’ailleurs je ne veut pas perturber ton fil (félicitations d’ailleurs) mais la question était posée et ton titre s’y prêtait 😅 )   Hehe oui en effet, ça faisait un moment que mon max n’avais pas bougé des 240 km Sherman OG, mais l’occasion s’est présentée. Finalement je suis moins fatigué après ces 360/80km (en Sherman L) qu’après la longue sortie en OG. Les suspensions permettent de garder une moyenne élevée et la charge rapide de ne pas perdre trop de temps. (Désolé formulation alambiquée, peut dormis)

J'ai eu 2 roues, l'une sans la melasse, j'avais changé le trolley sans soucis, et une autre avec mélasse, une m.... Même si toutes les 2 ont fait 35.000 km. La deuxième m'a causé un coupe cirtuit, quasiment à l'arrêt avec le face plant qui va bien, résultat Léger trauma crânien, nez cassé, vision double etc.. J'ai repris la roue depuis, mais on ne s'aime pas.  J'ai resséré tous les boulons du trolley, cela a mieux marché, mais maintenant, après quelques mois, elle a l'air de s'énerver pour en rien, à dire vrai, trembler de toutes ses feuilles et çà me fait un peu peur (c'est arrivé hier).

MERCI Merci @matou77pour tes messages. Je confirme tout, sauf pour A) la boulangerie, c'est tout simplement la meilleure de l'UNIVERS tout entier  Et B) l'hydronymie, rien d'évident à ce que la Seine ne reste pas le principal, ou distributaire, jusqu'au bout, je laisse les curieux s'enquérir d'infos à ce propos : https://fr.wikipedia.org/wiki/Confluence_(hydrologie)  et  https://fr.wikipedia.org/wiki/Affluent  

En tous les cas, il est certain que nous allons de plus en plus nous faire contrôler. Surtout dans les villes.  A Paris en roulant à la cool 30/35 km-h, bon nombre de vélo me dépasser à des vitesses d'au moins 40 km-h à vue de nez. Il en est de même pour les trottinettes.  Ce phénomène prend de l'ampleur. Profil livreur deliveroo, et particulier.  Tous les nouveaux wheelers que je croise sont sérieux, ne cherchant pas à rouler vite mais plutôt à se frayer un chemin à la cool. Ils donnent une bonne image de la communauté. 

Depuis qq mois il y a de la surenchère sur les distances quotidiennes, 2 mois en arrière je trouvais pas mal mes 210km !!!!  C'est cool on se motive grâce au forum. Tu es sur Sherman OG, max ??

L'Allée royale pour nous quatre (avec quelques artifices pour garder l'anonymat)