+1.
En effet, tous nos chargeurs standards ont un double effet Kiss Cool, d'abord une charge à courant constant, puis, une charge à tension constante.
Et donc la puissance injectée est en forme de chapeau chinois, une rampe montante linéaire puis descendante exponentielle.
Notons qu'à la fin il reste toujours un chti courant, d'environ 40 ou 80 mA selon le nombre de packs, à cause du bypass d'équilibrage.
Certains chargeurs "élaborés" coupent en fin de charge, ce qui n'est pas forcément une bonne idée.
Quand on est particulièrement pressé, dans la première zone on peut charger à puissance constante.
Dans ce cas, l'électronique fait le calcul P=U.I et gère U pour maintenir P constant.
Faire une fonction multiplieur n'est pas très facile en analogique, mais il y a des ampli opérationnels dédiés à cela.
On peut aussi implémenter un grigri en firmware, ce qui oblige à coder U et I... C'est comme on veut...