MonNomEstPerson

Possesseur depuis début juillet d'une roue (et plus de 700km au compteur), je me suis posé exactement la même question, et tous les autres wheeleurs aussi!

C'est une appréhension légitime, chacun la gère comme il veut.

Perso, j'ai pris en compte tes trois points avec quelques règles que je m'impose :

- laisser toutes les alarmes : je ne dépasse JAMAIS le premier bip si je n'ai pas casque/poignet/genous.

- ralentir au pas si la visibilité de la surface n'est pas bonne : la nuit dans les zones d'ombre, ou dans la circulation quand on suit un véhicule qui masque les aspérités de la chaussée, même à faible vitesse.

- je m'autorise des pointes à 30km/h uniquement en environnement sécurisé, les bips agaçants me rappellent qu'une chute à cette vitesse ça peut piquer un peu.

- en circulation normale, je reste aux deux bips (22km/h) : il paraît qu'à cette vitesse une chute ça passe encore sans trop de bobos (non testé).

- Pour revenir à la roue elle même car c'est ton sujet, je respecte scrupuleusement les consignes données sur papier par eroue concernant la règle des "3". Donc dès qu'il y a une cote, du vent, batterie à moins de la moitié,... J'y vais mollo.

- j'ai choisi une roue de marque réputée et puissante, pas un noname qui fonctionne à piles.

- Enfin, ma vision de la roue n'est pas d'être tout les temps à fond, le mode ballade est très sympa aussi ;-)

Pour les gamelles, je ne m'en suis pris que deux "vraies", hors période d'apprentissage. Une la nuit en ayant pas vue une marche sur un trottoir. Grâce au point 2, aucune conséquences, je suis resté sur mes pieds.

La seconde c'est un poteau qui a traversé le trottoir et j'ai cogné la pédale. Je me suis retrouvé par terre, aucune blessure ni jean troué grâce aux protections, j'ai juste été très surpris, je devais être à la vitesse d'un coureur, je n'ai pas pu me rattraper.

Dans aucun de ces deux cas la roue n'est en cause.

Ma seule vraie hantise c'est quand je suis sur une piste cyclable, et qu'un bus me rattrape et me colle (l'haleine du taureau dans le cou...), sans possibilité de se mettre assez sur le côté pour le laisser passer.

Oui, le risque est réel, il faut le gérer. Comme à ski, en plongée, en escalade, en vélo, en deltaplane, en voyage, etc.

C'est vous qui voyez !

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Testé hier soir, même si elle n'est pas encore ouverte, il faut juste contourner les barrières.

Excellent spot ballade, qui permet de me caler tranquille entre 25-30km/h (sur les 3km. Très sympa!

Ça m'arrache la gueule de dire ça, mais Merci Mme Hidalgo pour cette politique volontaire de pistes cyclables. Même si je suis sur qu'elle ne lira jamais mon post !

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Merci pour tes bons conseils et au niveau de la roue que conseilles-tu ? 
 

Exact, on en a tous au moins un, et on en croise beaucoup.
La dernière réaction qui m'a surpris, c'est un père de famille avec toute la petite famille en rang d'ognon barrant complètement la piste cyclable sur les deux voies, qui, me voyant persister à avancer(au pas) pour obtenir un passage,  me déclare: " Vous avez qu'a descendre, vous pouvez vous arrêter quand même!"
Le reste du monde devait s'incliner devant cette famille royale, ça devait être le roi des glands.
 

Je suis d'accord avec la proposition de 30mn solo chaque jour. Au bout d'une semaine, ça devrait le faire.
Par rapport au ski/roller, j'ai trouvé l'apprentissage bien plus rapide, car on apprend simultanément tous les gestes : accélération, freinage, virages. Du coup on peu rapidement profiter.
J'ai commencé laborieusement début juillet, breaks un mois en août. Fin septembre : je me déplace tous le jours avec, et aujourd'hui je m'étais lancé comme défis de dépasser les deux bips de vitesse (20km/h GPS sur mcm4 hs). Résultat des courses : 28km/h établi (Gps). Encore une petite progression perso.
Tout ça pour dire que les bases, ça s'apprend vite, ensuite tu as le temps pour progresser à ton rythme.
Bon apprentissage!


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Bonjour,
Même si mon choix s'est porté sur la monoroue, j'approuve la remarque de chploup61 sur la trottinette, dans ta situation.
Concernant l'autonomie, je ne pense pas que ce soit un réel problème : je comprend que tu fasses 50km par jour, mais en fractionné. Tu pourras emmener ton chargeur avec toi et recharger chez tes "clients" ou au restau. Ça fera plus léger pour monter les escaliers.
Bon choix !


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A défaut de musique, une rando déguisée ? J'dis ça, j'dis rien !


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Mince, j'allais dire que je suis surfeur fonctionnel, mais en fait je me reconnais plus dans la définition du papy tranquille !!!

Pour le fonctionnel pur, je pense plutôt trottinette électrique. Pour la roue, il faut aimer le challenge et apprendre, c'est le ticket d'entrée qui nous différencie de la trottinette.
À mon avis perso (et je suis d'accord avec moi même!).


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Blanc l'été, noir l'hiver, et la batterie sera toujours à la bonne température !


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Salut,
Pour ma part c'est un Gps (Garmin) au fond du sac.
Avantage : deux piles r6 rechargeables permettent au moins 12h d'autonomie, tout en préservant celle du téléphone.
Grégoire.


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Salut,

Je propose un petit thread/tuto sur le :

comment rouler en ville.

Ma pratique du mono roue date de fin juin, et ma pratique passée du roller m'a vraiment beaucoup aidée. Voici donc quelques conseils, n'hésitez pas à partager les vôtres.

- Ne jamais rouler le long des façades : il y a toujours un piéton qui sort d'une porte qu'on n'a pas vue.

- Idem pour les angles (murs, camions, bus, ...) : c'est idéal pour s'emplafonner une mamie.

- les arrêts de bus : encore des angles très fréquentés.

- Gaffe aux chiens tenus avec les laisses déroulante, surtout dans la pénombre.

- Quand on croise des piétons, on échange un regard, puis on fixe du regard sa trajectoire, éventuellement on confirme avec un geste de la main. Si on regarde le piétons en face jusqu'au dernier moment, incompréhension garantie. Montrer aussi qu'on maîtrise : ne pas arriver les yeux écarquillés, la bouche ouverte, et les bras qui font des moulinets !

- Pour les roues, l' accélération permet de s'autoriser à ralentir quand on croise des piétons : ne pas s'en priver.

- lorsqu'on double un piéton : soit passer loin, ou alors s'annoncer discrètement pour éviter une réaction brusque. Ne pas crier un grand coup sinon le piéton s'arrête devant vous pour comprendre ! Si ça ne passe pas, je reste tranquillement derrière. 9 fois sur 10 le piéton s'en rend compte et vous laisse passer.

- les voitures à l'arrêt : ouverture inopinée d'une portière.

- les enfants : pas de soucis si ils vous ont vu et qu'ils font un whaouuuu. Par contre super gaffe si ils ne vous ont pas vu.

- les animaux : gaffe.

- piéton à l'arrêt les yeux sur son portable : il peut repartir n'importe quand dans n'importe quelle direction. C'est les pire, s'en méfier.

- celui/celle qui a capté votre regard et votre intention, mais qui comme par hasard regarde ensuite ailleurs en vous ignorant, et se déplace légèrement pour vous bloquer... Rester zen...

- le mec bourré, les gens bizarre : s'en méfier, surtout si c'est la même personne !

- les animaux : gaffe.

- enfin, lorsqu'arrive un groupe de piéton, je reste à l'écart le temps de voir comment ça va se disperser. Sinon c'est pied à terre.

Voilà, c'est tout ce dont je me rappelle pour l'instant. J'espère que cela pourra vous servir.

Grégoire.

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Tout d'abord bon rétablissement à l'accidenté !

Ça fait réfléchir ce genre de chute...

Du coup, en suivant vos échanges, j'ai un doute : sur ma mcm4, je m'impose de ne jamais dépasser le 2eme bip.
Il y a quelques jours, je suis monté à Monmartre par les chemins en terre de chaque côté de la pelouse (pour les Parisiens, Montmartre, c'est Montmartre, pour les autres, c'est une cote pentue comme ça)
J'avais beau forcer, la roue montait bien, mais à la vitesse d'un piéton qui trottine. Pas moyen d'aller plus vite, mais je n'ai pas non plus trop voulu forcer.
J'en conclu que j'étais au max des capacités de la roue. Mais aucun bip d'alerte continue de surcharge. J'ai raté un truc ou finalement j'aurai pu forcer plus ???

Grégoire.



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Bonjour !
Sur l'apprentissage, je confirme qu'un déclic se fait à un moment donné.
Pour ma part, je suis aussi passé dans les bras de Steeve (je ne vois pas d'autres termes) pendant 1/2, il il m'a encore fallu encore deux bonnes heures pour à peu près avancer là où je voulais !

Quand on me demande (souvent) si c'est difficile, je répond que d'après moi, l'apprentissage est bien plus rapide que le ski ou le roller : en mono roue, dès qu'on trouve le déclic, toutes les manœuvres usuelles sont assimilées en même temps : accélération, freinage, virage. Et quand ça va pas, il suffit de mettre pied à terre et de respirer un bon coup.
Alors qu'en roller, face à une longue descente, c'est tout de suite plus compliqué, même après une dizaine d'heures de pratique !

Pour moi le plus difficile à maîtriser a été le démarrage sans appuis.

Bonnes ballades !


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Bonjour,
J'ai aussi acheté ma mcm4 chez eroue il y a un mois.
Le vendeur m'a dit très explicitement : d'abord brancher le 220v, puis la roue.
Même si dans le manuel c'est écrit l'inverse.
Et il a insisté sur l'importance de charger à fond les premières fois.
Bon courage !


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si tu as bien enlevé 4 vis, il n'y a plus qu'à tirer avec un peu de conviction
ce qui retient le capot c'est le scotch double face de la batterie.
sinon voilà tous les secrets:
 

Bonjour,

J'essaie de voir comment remplacer le pneu si jamais un jour c'était nécessaire.

Et en regardant bien comment faire j'ai vu que la coque s'est un peu déformée au niveau du passage de la roue, ce qui laisse moins d'un millimètre d'écart entre le pneu et le plastique.

Donc j'essaie de tout démonter pour voir si je peux intervenir moi même pour ce genre de petites réparations.

Mais je ne trouve pas comment faire avec la V2.

Ma roue est une 340wh.

J'arrive à ouvrir la trappe latérale côté bouton alim, qui ne contient rien (au passage, une suggestion : pourquoi pas un vide poche pour ranger son porte feuille?), en retirant les 4 vis avec un tournevis cruciforme.

Mais l'autre trappe (qui doit contenir la batterie) semble "retenue". Je n'ose pas tirer.

Y'a t'il un truc à faire ?

Autre point : comment démonter le cache led ? En glissant un doigts sur le bas de la coque on peut faire sauter le premier clips sans forcer, mais pour les autres ???

Bref, je suis preneur de toute info !

Merci d'avance.

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Puissance en Crète : comme cette île est montagneuse, les modèles vendus à cet endroit sont plus puissants qu'ailleurs.
J'ai bon ?


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Bonjour Dakakam,
Bienvenue dans la tribue !
Ça fait un mois que j'ai commencé la roue.
Il m'a fallu une semaine 1/2h par soir avant de commencer à pouvoir circuler, et encore, de façon assez instable.
Maintenant je me ballade assez facilement en traversant Paris. Sur les quais, avec les beaux jour, c'est super sympa :-)


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J'ai installé l'application sur tablette Android (et non pas iOS) : des fois il faut arrêter et relancer l'application pour pouvoir se connecter. Peut être que c'est la même chose sur iOS ?
Vérifie aussi si le Bluetooth est bien activé...
Grégoire.


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Ok, en désactivant le tiltback ça va beaucoup plus vite, j'ai réussi à atteindre les bip : ça va vite !
J'en ai aussi profité pour essayer les modes dur/moyen/mou : visiblement ma roue était réglée dès le début en mode dur. Et c'est très bien comme ça, c'est beaucoup plus facile. Les modes moyens/mou donnent un effet de balancier surprenant auquel j'en' étais pas habitué.
Bonne journée.
Grégoire.


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Merci Raff pour ta réponse.
Moi, c'est 60kg tout mouillé.
Mais je me fixe comme objectif de ne jamais dépasser le premier bip, car je sais que je suis dans la phase "à risque" : je me crois fort, j'ai super confiance en moi, alors qu'il y a 3 semaines je n'étais jamais monté sur une roue ;-)
Grégoire.


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Bonjour,

Je possède ma mcm4 depuis 3 semaines, et prenant progressivement de l'assurance, j'ai voulu augmenter le réglage tiltback via l'application à 24km/h.

J'ai l'impression que ce réglage est très subtile, ça change à peine la vitesse, qui reste en dessous des bip sur d'alerte que je n'arrive jamais à atteindre.

J'ai raté quelque chose ?

Grégoire.

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Je suis tout nouveau dans le monde du gyroroue. Je l'ai depuis une dizaine de jour, une mcm4.

Les débuts ont été super galère, et même avec une demi heure avec Steeve.

Maintenant ça va, je viens de réussir hier soir la dernière étape du niveau 0 :

- départ avec appuis: Check

- trajectoire indépendante des conditions initiales : Check.

- démarrage sans appuis : Check.

Mon objectif : déplacements et ballades urbaines.

Grégoire.

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Cher [mention=1350]MonNomEstPerson[/mention].
Mourir n'est pas la pire des choses qui puisse arriver à un homme. Tu vois, je suis mort depuis trois jours, et depuis trois jours j'ai enfin trouvé la paix. Tu m'as souvent dit que ma vie ne tenait qu'à un fil. Désormais, c'est la tienne qui ne tient qu'à un fil. Ils sont nombreux ceux qui veulent te le trancher, ce fil. Mais tu aimes le risque, c'est ta façon de te sentir en vie et c'est ça la différence entre nous : moi, quand je voyais venir une sale affaire, j'essayais de l'éviter. Pas toi. Si tu n'as pas une sale affaire à te mettre sous la dent, tu t'en inventes une et après l'avoir liquidée, tu en abandonnes le mérite à un autre, comme ça, tu peux continuer à être toi-même, c'est-à-dire personne. C'est astucieux.
Mais cette fois tu as joué gros, et ça en fait déjà quelques-uns qui savent que tu es quelqu'un. Tu finiras donc par te faire un nom toi aussi et alors là, tu auras de moins en moins de temps pour jouer. Ce sera de plus en plus dur. Et, un jour, tu rencontreras un homme qui se sera mis dans la tête de te faire entrer dans l'Histoire. À ce stade, pour redevenir personne, il n'y a quun moyen : mourir.
Dorénavant, tu devras chausser mes éperons et ce ne sera pas toujours drôle. Essaye pourtant de retrouver un peu de ces rêves qui nous habitaient, nous autres, de l'ancienne génération. Même si tu t'en moques avec ta fantaisie habituelle, nous t'en serons reconnaissants. Au fond, on était des sentimentaux.
En ce temps, l'Ouest était désert, immense, sans frontières. On croyait tout résoudre, face à face, d'un coup de révolver, on ny rencontrait jamais deux fois la même personne. Et puis, tu es arrivé. Il est devenu petit, grouillant, encombré de gens qui ne peuvent plus s'éviter.
Mais si tu peux encore te promener en attrapant des mouches, c'est parce qu'il y a eu des hommes comme moi, des hommes qui finissent dans les livres d'histoire, pour inspirer ceux qui ont « besoin de croire en quelque chose », comme tu dis. Dépêche-toi de t'amuser, parce que ça ne durera plus bien longtemps. Le pays s'est développé et il a changé. Je ne le reconnais plus. Je m'y sens déjà étranger. Le pire, c'est que même la violence a changé. Elle s'est organisée. Un coup de révolver ne suffit plus, mais tu le sais déjà, car c'est ton siècle, ce n'est plus le mien.
À propos, j'ai trouvé la morale de la fable que ton grand-père racontait, celle du petit oiseau que la vache avait recouvert de merde pour le tenir au chaud et que le coyote a sorti et croqué. C'est la morale des temps nouveaux. Ceux qui te mettent dans la merde ne le font pas toujours pour ton malheur, et ceux qui t'en sortent ne le font pas toujours pour ton bonheur. Mais surtout ceci : quand tu es dans la merde, tais-toi.
C'est pour ça qu'un type comme moi doit disparaître. Ton idée d'un duel truqué était bien la marque de ces temps nouveaux. C'était le moyen le plus élégant de me faire quitter l'Ouest. D'ailleurs, je suis fatigué, car il n'est pas vrai que les années produisent des sages, elles ne produisent que des vieillards. Il est vrai qu'on peut aussi être comme toi : jeune en nombre d'années et vieux en nombre d'heures. Oui, je débite des phrases pompeuses, mais c'est ta faute : comment parler autrement quand on est devenu un monument historique ?
Je te souhaite de rencontrer un de ces êtres que l'on ne rencontre jamais ou presque jamais. Ainsi, vous pourrez faire un bout de chemin ensembles. Pour moi, il est difficile que le miracle se reproduise. La distance rend l'amitié plus chère, et l'absence la rend plus douce. Mais depuis trois jours que je ne t'ai pas vu, tu commences à me manquer.
Bon, à présent je dois te quitter. Et bien que tu sois le roi des fumistes et le prince des emmerdeurs, merci pour tout.
Ah ! J'oubliais : quand tu vas chez le barbier, assure-toi que sous son tablier il y ait toujours un homme du métier.
Jack Beauregard (alias Mingyar)

Un grand merci aux organisateurs de cette ballade, c'était très sympa !!!


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