Techos78

Cépafo. L'inverse tiendrait du miracle... Donc une roue de tension double qu'une 84V, pouvant donc rouler plus que 2 x 50 km/h... OK pour la piste, mais je suis plus réservé pour le domaine public...

Bon, vous n'êtes pas obligés de tout regarder. C'est juste pour démontrer que les mosfets progressent, à un point tel que c'est le boîtier qui devient dimensionnant... Pour mémoire, la dissipation est de la forme R.I2 donc quand on commute 400A, on dissipe 160W quand Rds=1mΩ. C'est le cas du pwm (pendant quelques %) d'une grosse roue haute tension au démarrage. C'est la raison essentielle des mosfets en //, surtout en haute tension car + la tension est élevée, et + le Rds l'est aussi.

Mouais, 58kg, deux fois plus que la v11, trois fois plus qu'un parpaing . Sans blague, ça vous fait rêver ? Perso, cette valeur me fait penser à autre chose...

Decathlon vend un truc avec chaîne (pour faire plaisir à @misc ) mais avec choix de cadence de pédalage... Je n'ai pas vraiment compris... Autre vidéo sur le chainless :

Intéressant, je regarderai, merci. Ne pas oublier l'adaptateur "camping" mono, bleu... On peut sniffer les toilettes de certains lieux publics, il peut y avoir des prises aspirateurs... qui obligeront à simuler une grosse commission problématique . Edit, réponse immédiate : yess, l'adaptateur type 2 vers Schunko existe : environ 60€

Je pense qu'on ne peut pas se brancher sur un connecteur type 1, type 2, Tesla, chademo, ccs et tutti quanti. Les petites bornes ont un connecteur 220V standard (renforcé), certes sans verrou, mais c'est la trappe qui est "intelligente", et qui nécessite souvent la présentation du badge ou du dialogue gsm pour daigner s'ouvrir...

Oui, il y a différente tentatives de chainless bike, Cixi est bien placé. Remplacer une transmission méca par un alternateur régulé n'est pas bête, avec possibilité de gérer un rétro-pédalage allant jusqu'à la marche arrière (comme sur une roue). Faut voir, poids, coût, entretien, feeling... A suivre. Mais je m'étonne : cela nécessite impérativement un moteur pêchu qui prend en charge la totalité de l'effort d'avancement, mais en France les vae sont limités en vitesse d'assistance mais aussi en puissance, 250..350W, ce qui est insuffisant dans les pentes. Donc ces vélos sont obligatoirement des speed bikes, avec plaques, interdiction de piste cyclables etc... Pas cool...

Le couple est très rarement indiqué, les constructeurs donne assez souvent la pente max admissible. Trèèès à la louche, selon cette esquisse : Pour un poids total P = 100kg et un angle a=45°, on a une force de descente D=P/√2=70kg Pour un rayon R=0,2m , il faut une force F=70kg, couple = 70*0,2= 14kg.m = 140N.m

Étonnant comportement d'un ressort de soupape, moteur à 8500tr/mn : Vieille structure avec culbuteur, obsolète.

Ces derniers temps, je n'ai vu personne se plaindre d'un port de charge défectueux. A priori, les GX12, GX16, Lenovo font le job correctement, même si le clapet en caoutchouc se fait la malle. Certes, un couplage magnétique nécessite des bobines bien dimensionnées, mais l'inconvénient majeur c'est que la régulation courant/tension doit être incluse dans l'engin, ce qui rajoute une brouette de composants qui n'ont rien à faire là. Aucun intérêt.

Dur. Même avec pilotage éco, une roue moderne est >40kg, surtout suspendue. Je regrette beaucoup ma vieille ks18s (cassée), confortable, 24kg, 60V-1680Wh, avec laquelle je faisait 100 bornes à coup sûr. De temps en temps je regarde l'actualité des batteries. Que dalle depuis 8 ans, ça roupille grave, le 500Wh/kg n'est pas pour demain... Pfff, frustrant.

J'ai tendance à confirmer. L'époxy est cassant même utilisé pour enrober du tissu ou mat de verre. Son adhérence est faible (quasi nulle sur du souple), même avec primaire d'accrochage. Trouver la colle kivabien est une recherche hasardeuse, qui nécessite d'identifier le matériau à coller (et la méthode d'application). On peut chercher une colle aggressive qui se lie à la pièce, éventuellement en préparant la surface (j'ai été déçu par l'acétone, je déplore la disparition du trichloréthylène, du chloroforme...). Il y a aussi la soudure (je n'ai pas dit la brasure). Avec générateur d'air chaud ponctuel ou fer à souder à température contrôlée, nécessite d'avoir de la matière en rab (la même), éventuellement en encastrant des agrafes métalliques. Le but : faire fondre pour éliminer toute trace de fissure. J'ai essayé des tas de trucs, le plus souvent j'ai été déçu sur les pièces lisses, les pièces poreuses sont moins caractérielles.

Cépafo, cependant le résonnement me perturbe un peu : ce n'est pas la puissance qui détermine le couple, c'est l'inverse, uniquement quand la roue tourne. On peut se rappeler la déf du cheval vapeur : soulever 75kg à 1m en 1s correspond à 736 W de puissance. La puissance est une conséquence, pas une cause, et s'il n'y a pas de déplacement, la notion de puissance disparaît. C'est la force (le couple) qu'il faut considérer. La puissance est le résultat "anecdotique" du produit de cette force par la vitesse de déplacement, les roues sont de + en + puissantes car les tensions sont de + en + élevées (pour lutter contre la fcem), afin de maintenir le couple à + grande vitesse. Mais la nervosité de démarrage dépend du couple (du courant injecté) mais absolument pas de la puissance. Quant à la pente franchissable, c'est une conséquence de la géométrie, donc effectivement du diamètre du pneu, mais aussi du déséquilibre que le pilote pourra imposer : hauteur et taille des pédales, présence de pads...

Tu peux t'appuyer sur l'expérience de @King Size, gros rouleur () particulièrement sagace, qui est passé de V11 à Lynx... Cette Lynx est un peu plus trail, architecture moderne propice aux pads. Probablement plus stable (?) car + lourde avec centre de gravité haut. Plus pratique à démonter et à gérer (display etc..). Cette roue haute vitesse (i.e. haute tension) n'est pas très bien adaptée aux wheelers lents (<45km/h), c'est l'équivalent d'une grosse cylindrée donc relativement énergivore. Bah, foin des kW/h...

Cette wheelosophie me fait penser à un titre de film de 1975 , "ce n'est pas parce qu'on n'a rien à dire....".