AdemJS

Bonjour à tous et toutes, particulièrement aux Belges Dans la continuité des mes dernières publications concernant les trottinettes électriques, j'ai le regret de diffuser l'information suivante : en Belgique, 5 accidents par jour impliquant des trottinettes électriques, durant le 1er trimestre de cette année. Les chiffres se sont multipliés par deux (pour la même période de 2024). Avec la dimunition de l'offre de trottinettes partagées, beaucoup de jeunes et moins jeunes se sont offert leur trottinettes personnelle, mais le sens des responsabilités ne semble pas avoir suivi. https://www.lavenir.net/actu/societe/mobilite/2025/08/18/5-accidents-de-trottinette-par-jour-en-belgique-au-premier-trimestre-2-marques-chinoises-posent-probleme-R2WD3CDMD5H23LUDOTEFMHOHV4/ Mes commentaires sur les recommandations de cet organisme de sécurité routière : Lorsqu'il y a un accident entre plusieurs parties, c'est qu'il y en a une qui n'a pas respecté le code de la route/les autres usagers. Toutes sortes de recommandations, sauf le permis de conduire ! Le port du casque permettrait sans aucun doute de réduire la gravité d'une bonne partie des accidents. A l'origine, l'avantage des trottinettes motorisées était leur légereté et leur compacité ; lorsque les voiries sont correctement entretenues, 8 pouces suffisent largement. A l'origine (années '20), ces engins, déjà électriques, s'adressaient aux adultes (hééé oui !). Je ne vois pratiquement aucun cycliste porter ces immondes gilets fluos... mais il faut pourtant le faire pour ne pas les voir, en tout cas en ville. Le fait est qu'un petit (ou vieux) c...n reste un petit (ou vieux) c...n avec ou sans gilet fluo, avec ou sans casque, à 25 ou 35 Km/h, avec des roues de 8 ou 10 pouces ! La source du problème, c'est l'usager et non l'engin en lui-même, le plus souvent. A toutes fins utiles, mes constats personnels, qui confirment le contenu de l'article : de plus en plus de jeunes gens se sont offert leur trottinette personnelle, sans doute avec l'approche de l'été, et la raréfaction des trottinettes partagées (en tout cas à Bruxelles). Et effectivement, je constate que de plus en plus de ces jeunes gens roulent sans casque, ne respectent pas les feux de signalisation, quand leur comportement n'est pas en soi dangereux (gsm, à deux sur la trottinette, vapoter,...). Il y a encore quelques semaines, l'endroit que j'observe/fréquente le plus souvent était tranquille. Pas mal d'adultes dont l'utilisation est utilitaire et professionnelle ; respectent au moins les feux de signalisation, vitesse très raisonnable. Résumé assez crument : trop de petits c...s vont une fois de plus causer des soucis à des gens qui n'ont rien fait de mal. PAS MERCI !

Effectivement, le mobilier urbain n'est pas étranger aux risques d'accident... Mais la cause première reste le plus souvent l'erreur de pilotage selon moi. Il n'y a rien à faire : un usager faible doit se comporter en usager faible, porter des protections (surtout en gyroroue) et ne pas confondre la voie publique avec un circuit privé.

Il a peut-être "rippé" le long de la bordure, et est peut-être tombé brutalement sur le flanc, sans porter de casque. Ce genre de chute, même avec un casque, est toujours très dangereux, parce que la tête frappe le sol sur la tempe : c'est l'hémorragie cérébrale presque garantie, même à 20 Km/h. Ce que je trouve regrettable, c'est que la Presse, dans bien des cas, pensant flatter un lectorat hostile à ce genre d'engin, nuit plus qu'elle n'informe. Ce n'est pas parce que beaucoup d'usagers d'EDPM se comportent de façon peu civique que ce n'est pas un intéressant moyen de transport, avec intrinsèquement beaucoup d'avenir. Faut-il rappeler pourquoi les premières trottinettes motorisées sont apparues en 1916 (les fameux "Autoped") ? Elles filaient à un raisonnable 30 km/h, et leur avantage est qu'elles répondaient à une pénurie de nombreux matériaux, du fait de la guerre ; accessoirement, elles furent un symbole du féminisme, car elle permettaient à bien des femmes (qui certes avaient tout de même quelques moyens financiers), de s'affranchir de toutes les contraintes qui cadraient la possession d'une voiture.

Je serais de mauvaise foi si j'avançais que 20 Km/h peut être qualifé de "vitesse soutenue". Il s'agit donc sans doute d'une gyroroue et non d'un gyropode. Cela ne change bien sûr rien à ce drame. Condoléances

Gyropode ou gyroroue ? Quelles sont les circonstances exactes de l'accident ? Les informations communiquées par ce journal semblent totalement fausses...

Non, pas tout à fait : pour le peu que son conducteur ne commette pas d'excès de vitesse, il ne risque pas de voir son véhicule envoyer à la fourrière voire se faire détruire. Et en cas d'excès de vitesse, il risque simplement un retrait de permis. La remarque tu émets sera totalement "juste" lorsque les possesseurs de tels engins seront soumis aux mêmes obligations administratives que les possesseurs de Maserati. Pour le moment, rouler avec ce genre de gabarit, c'est rouler avec une épée de Damoclès au-dessus de la tête... ce qui gâche le bonheur quand même je crois. Je comprends tout à fait. 😉 C'est précisément à cela que sert un Forum : échanger/exprimer des idées, des opinions, en toute courtoisie.

A ce stade, je trouve personnellement que ce ne sont plus des "trottinettes" (EDPM), mais bien des cyclomoteurs classe B sans selle (catégorie inexistante en fait, mais bon...) ; voire même des "motos" (sur base des perf's et pas de l'architecture). Une question que je me pose depuis pas mal de temps : initialement, l'intérêt des Trott's était leur agilité, leur faible poids, leur compacité ; élements qui en faisaient un engin de transport multimodal très intéressant. Au fil des années, au lieu d'observer une augmentation de la fiabilité, certains équipements, l'on a observé une augmentation drastique des performances et des tarifs. Donc, quel est l'intérêt de par exemple payer 5.000 euros pour une "trottinette" de près de 70 Kg, à peu de choses systématiquement hors-la-loi sur la voie publique, sans véritable garantie de support sur la durée, par rapport à un scooter ?🤔Pour moi, pour un budget pareil, le choix entre une Vespa et une "trottinette" est vite fait. J'ajoute que si la motivation de tels achats est l'absence d'obligation de permis, d'assurance RC spécifique, d'équipements de motard, d'immatriculation, et bien c'est une très mauvaise motivation et il est fort a parier que cette situation va rapidement évoluer.

Hello ! Pourquoi un engin dépassant les spécifications définissant un EDPM ? Parce que tu pourrais t'en servir dans le cadre de loisirs sur terrain privé. "La question, c'est le bridage" : note importante, débridage d'un engin/véhicule et utilisation d'un engin/véhicule non conforme sont deux infractions différentes. D'autre part, le risque lié à l'absence d'assurance dans les gros accidents : personnellement, je ne joue pas avec le feu, mais il ne va pas de soi qu'une assurance refuserait d'intervenir sur la seule base de la non conformité du véhicule en terme de vitesse maximale théorique. Si tu peux prouver que l'accident ne s'est pas produit du fait de la non-conformité de l'engin (par exemple dans le contexte de torts partagés, et ta vitesse n'était pas excessive), tu as un espoir que ton assurance intervienne. Mais je le répète, ne pas jouer avec le feu ! Lorsqu'on est fondamentalement un contrevenant, on fait profil bas, on se montre d'autant plus prudent, on respecte les autres usagers de la route, point barre. Je fais un agréable 30 Km/h lorsqu'il est évident que je peux me le permettre ; lorsque j'emprunte une voirie partagée avec d'autres usagers faibles, je roule à pas d'homme s'il le faut ; idem si je vois des gamins proches de la piste cyclable (et mon attitude m'a déjà évité d'en renverser un). Voilà tout Donc, comme d'autres te le répondent à juste titre : tu es un adulte, est fort de ton libre-arbitre...

Bonjour à tous et toutes, En annexe, une intéressante étude (pdf, mémoire d'étudiant, 52 p., 2024) portant sur l'accidentologie des trottinettes électriques. La plupart des conclusions ne sont pas surprenantes du tout : leur force repose sur le fait que l'on ne part plus de simples témoignages et autres stéréotypes, mais bien de la consolidation de statistiques sur la durée, issues de nombreux pays. Donc, sans surprise : le combo jeune homme de - de 25 ans + imprégnation alcoolique + non possession d'un permis + conduite de trottinette en libre-service, est des plus explosifs et à peu de choses près, très largement sur-représenté. L'état des infrastructures a également une influence. A priori, si l'on souhaite réduire les risques d'accident et en diminuer la gravité, ce n'est pas tant l'immatriculation de ces engins qui sera efficace, mais bien l'imposition d'un permis, et du port du casque ; également la sanction "d'inciviques" sur base de la législation existante ; contrôles d'alcoolémie aux endroits les plus accidentogènes (sur des bases statistiques). L'immatriculation de certaines catégories de trottinette permettrait cependant de "libérer" les usagers de certains gabarits. Tissot_Océane_89382000 & Pitchon_Ines_41651900_2023-2024.pdf

Hello les jeunes ! 😆 Parce que de temps en temps, c'est bon de parler de trott's, ma petite anecdote du jour ! Je suis toujours possesseur d'une Speedway IV, et je ne regrette pas de l'avoir fait réparer l'année passée : ce dimanche, plus de 60 Km parcourus, et 46% restants de batterie. Avec mes 80 Kg ; P08 à 60% ; plusieurs très longues montées, et de nombreux chemins légèrement accidentés. Pas mal de portions de route à l'aise, à pas d'homme, c'est vrai. J'avais hésité à la faire réparer l'année passée, mais finalement, je ne le regrette pas : c'est une excellente routière longue portée ! En fait, vous contrôlez régulièrement la visserie et la pression des pneus, tout baigne ! Avec les rondelles par défaut (càd deux rondelles normales et deux rondelles avec ergot) sur la fourche arrière, j'ai boussillé deux fourches et un moteur ... Là, mon dernier réparateur a placé quatre rondelles avec ergot, et ça tient très bien ! Donc voilà, réfléchissez bien à tout ce que vous faites, essayez de comprendre les bases de la mécanique, entretenez bien votre batterie, vos pneus, jouez pas au con sur la route, et vous profiterez longtemps de votre engin. Allez, racontez les histoires de vos vieilleries !

Bonjour, J'ai été agréablement surpris de recevoir une réponse de la part d'un des auteurs du projet de Loi. La voici : Cher monsieur ******, Merci pour votre message. Vous posez d'excellentes questions techniques concernant notre proposition de loi sur l'immatriculation des trottinettes électriques et des VAE professionnels. Je comprends parfaitement vos préoccupations en tant qu'utilisateur expérimenté et responsable de ces engins, et j'apprécie votre approche technique et constructive. Permettez-moi d'abord de rappeler le contexte de notre initiative. Face à l'augmentation constante des accidents - plus de 1.700 accidents impliquant des trottinettes électriques ont été recensés en Belgique en 2024, soit une hausse de 8% par rapport à l'année précédente selon l'Institut VIAS - nous avons déposé avec mes collègues Vincent Scourneau et Benoît Piedboeuf une proposition de loi visant à imposer l'immatriculation obligatoire. L'objectif est de restaurer la sécurité dans l'espace public et de mettre fin au sentiment d'impunité, tout en permettant aux victimes d'identifier les auteurs d'infractions. Notre proposition vise spécifiquement toutes les trottinettes électriques, qu'elles soient privées ou partagées, ainsi que les VAE utilisés dans un cadre professionnel ou locatif, afin d'éviter une surcharge administrative injustifiée pour les cyclistes privés. Concernant vos questions spécifiques, je dois être transparent avec vous : le texte de loi que nous avons déposé pose les grands principes, mais les modalités techniques précises que vous évoquez n'ont pas encore été définitivement arrêtées, comme généralement lors des projets de lois. Voici néanmoins les éléments dont je peux vous faire part : L'immatriculation sera effectivement conditionnée à une assurance responsabilité civile. Pour ce qui est de savoir si une assurance RC familiale sera acceptée, cette question technique fait partie des modalités d'application qui devront être précisées dans les arrêtés d'exécution. Actuellement en Belgique, il n'existe pas d'obligation légale d'assurance spécifique pour les trottinettes électriques, mais souscrire à une assurance responsabilité civile est fortement recommandé. Les assurances familiales couvrent déjà certains dommages causés par les trottinettes électriques ne dépassant pas 25 km/h. Vos préoccupations concernant la fixation des plaques sur les trottinettes ultra-légères sont parfaitement légitimes. La question de la taille des plaques, de leur mode de fixation et des adaptations nécessaires selon les gabarits d'engins n'est pas encore tranchée dans les détails techniques de mise en œuvre. Ces aspects devront faire l'objet d'une concertation approfondie avec les fabricants et les utilisateurs pour éviter précisément les problèmes de sécurité structurelle que vous mentionnez. Votre suggestion de créer plusieurs catégories en fonction du gabarit et des performances mérite considération. Il existe d'ailleurs déjà une pétition citoyenne demandant la création d'une catégorie intermédiaire pour les trottinettes rapides (jusqu'à 45 km/h), similaire à celle des speed pedelecs, avec immatriculation volontaire sous condition de bridage, équipement approprié, assurance et port du casque. Cette approche différenciée pourrait effectivement permettre une réglementation plus nuancée. La plupart des questions techniques très précises que vous soulevez - duplicatas pour plusieurs trottinettes d'un même propriétaire, prise en compte du bridage en fonction du poids du conducteur, traitement différencié selon les performances - ne sont pas encore définitivement tranchées. Ces modalités d'application devront être élaborées en concertation avec tous les acteurs concernés. Vous avez raison de souligner les risques de destruction massive d'engins existants. Nous avons vu à Anvers que les trottinettes dépassant 25 km/h peuvent désormais être immédiatement détruites, une approche que nous ne souhaitons pas généraliser aveuglément. Notre objectif n'est pas de pénaliser les utilisateurs responsables mais bien de créer un cadre permettant l'identification en cas d'accident ou d'infraction. Les questions que vous soulevez démontrent parfaitement la nécessité d'une approche pragmatique et techniquement cohérente, loin de toute bureaucratie aveugle. Une réglementation efficace ne peut se faire qu'en tenant compte des réalités techniques et des besoins des utilisateurs responsables. Je vous remercie encore pour votre message à ce propos. Croisons les doigts

Bonjour à tous et toutes, A l'attention de mes compatriotes belges surtout, Le MR vient de déposer une proposition de Loi visant à imposer l'immatriculation des Trottinettes électriques et des VAE (à usage professionnel). Voir : https://www.mr.be/trop-daccidents-pas-assez-de-regles-le-mr-veut-immatriculer-les-trottinettes/ C'est plutôt une bonne idée en soi, mais je m'interroge déjà sur la façon dont je vais procéder avec mes eTwow, dont l'architecture ne se prête vraiment pas à la pose d'une plaque de taille "vélo" ; je pressens moins de difficultés avec l'éventuelle immatriculation de ma Speedway et de ma RX 1000. J'ai donc déjà envoyé quelques questions aux personnes utiles, non pas tant dans l'espoir d'éviter cette obligation, que dans l'espoir d'avoir à respecter une Loi cohérente, applicable, forte de divers discernements techniques. - Une assurance RC familiale sera-t-elle acceptée ? - Si la pose de plaque de taille raisonnable ne pose pas de problème, à priori, sur des trottinettes de taille moyenne, il en va autrement pour des trottinettes (ultra-)légères : comment poser une plaque sur un garde-boue de 5 cm de large, en sachant par ailleurs, que forer dans le châssis peut créer des points de fragilité potentiellement dangereux ? Serait-il envisageable d’obtenir des plaques autocollantes à coller sur le châssis ? - Compte tenu du fait que les obligations administratives portant sur les trottinettes se rapprocheraient de celles portant sur les véhicules à moteur (plus vraiment question d’EDPM dans un tel contexte administratif), serait-il envisageable de tolérer une vitesse de 30-35 Km/h sans avoir à porter des équipements de motard ? - Etant donné que le but est d’identifier la personne, et non le véhicule, un possesseur de plusieurs trottinettes pourrait-il obtenir plusieurs duplicatas afin d’immatriculer toutes ses trottinettes ? (J’en ai 4, dont 2 ne me servent qu’à des loisirs occasionnels, et une ne me sert plus que de petite trottinette de réserve). - Serait-il envisageable de considérer plusieurs catégories de trottinette, en fonction de leur gabarit/performances ? Une trottinette ultra-légère de 10 Kg ne joue pas dans la même catégorie qu’un engin de 40 Kg ; pourquoi un engin proche d’un scooter ne pourrait-il pas être assimilé à un cyclomoteur de classe B, par exemple, son possesseur étant titulaire d’un permis AM/B ? A contrario, pourquoi un engin de 15 Kg, tout juste capable d’atteindre 30 Km/h en conditions réelles, ne pourrait-il pas continuer à être considéré comme un vélo (on peut se faire tuer par un vélo de course sans problème, et pour autant que je sache, il n’est pas question d’immatriculer les vélos de course) ? - Bien des trottinettes sont bridées sur base de la puissance délivrée, et non sur base de la vitesse de rotation de la ou des roues motrice(s) : cela signifie que si la trottinette atteint 25 Km/h roue levée, sa vitesse réelle avec le conducteur dessus approcherait tout juste les… 17 Km/h si le conducteur pèse 80 K/g ! Est-il envisageable de tenir compte de cette réalité technique ? - Quel est le sens de détruire des engins capables d’atteindre des vitesses plus élevées que 25 Km/h alors que le conducteur respecte le code de la route ? Procède-t-on de la sorte avec les voitures ? - Une vitesse de 25 Km/h maximum n’est-elle en fait pas plus gênante qu’autre chose, en regard du comportement légitime des automobilistes ? - Comment éviter que des dizaines de milliers de trottinettes ne soient jetées à la casse du fait d’un manque de discernement des autorités ? - Les trottinettes partagées sont de plus en plus souvent déjà identifiables grâce à une petite plaque : quel en est le retour d’expérience ? A toutes fins utiles, voici un article (2022) portant sur les critiques à ce genre de mesure : https://www.minimachines.net/actu/edpm-immatriculer-loi-111411 Il est regrettable qu'une fois de plus, les agissements de personnes immatures, irrespctueuses et irresponsables pénalisent les usagers respectables et respectueux.

Bonjour, Je pense avoir la réponse à ma question, mais je la pose quand même ici : diminuer le réglage P08 (vitesse de pointe) permet-il vraiment d'augmenter l'autonomie ? En fait j'ai l'impression que c'est le contraire, mais bon... ce n'est qu'une impression. Les arcanes techniques de chaque constructeur me restent mystérieuses... Merci d'avance pour vos éventuels éclaircissements

Bonjour, Hélas, je sais par expérience qu'entre être dans son bon droit, et pouvoir gagner ce qui ressemble à une épreuve de force, il y a un monde de différence. Si votre fournisseur est de bonne volonté, vous avez de la chance ; persistez à demander le remboursement intégral de la trottinette, ou un échange (modèle provenant d'un autre lot de production par exemple, qui ne souffrirait pas d'un même probable problème d'assemblage - et pas forcément de conception, ou de qualité des matériaux). Dans le cas contraire, il vaut mieux se résigner. Aucun avocat sérieux ne vous conseillerait d'aller au procès pour un montant aussi dérisoire. Mais vous pouvez toujours essayer de vous adresser à un organisme de protection des consommateurs par exemple.

Pour mes déplacements "habituels" (domicile-travail, domicile restaurant), 30 Kg c'est déjà beaucoup trop car je suis susceptible de faire du "multimodal"... Je veux pouvoir facilement prendre le tram ou le métro au cas où. Donc les caractéristiques me semblent rédhibitoires pour cet usage. Par contre, pour les simples balades plutôt longue distance, elle me semble impeccable... Bien que sans doute difficile à rentrer dans mon petit ascenseur (déjà pas évident avec ma Speedtrott RX1000). Vu que je suis au 3ème étage, c'est un détail très important.