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Je vais essayer ça, décidément cette roue se règle aux petits oignons ! -
La carte thermique sur euc.world sur les 30 dernier jours, on voit bien la diagonale que j'ai fait 😁 -
Exactement. C'est amusant de constater comment vous êtes influençable. Au bout de 4 ans, les données deviennent enfin exploirables. J'ai une bonne nouvelle qui arrive pour bientôt. 🥳 -
Par Michel Alastrue · Posté(e)
Je confirme pour le +1 pour les départs 👌👌👌👌😉 -
Tu dis cela en ayant un portrait de Trump en avatar... Hahahaha -
Oui pour les départs, et même les départs en cote. T'auras pas malheureusement toutes tes réponses sur ce site d'amateurs.
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Non effectivement, justement je trouve que les pédales ne sont pas assez inclinées vers l'avant. Pour faciliter les départs tu veux dire ? Et pour la dureté, je suis à fond, l'habitude de la Z10. Quand c'est souple ça donne un certain manque de réactivité de la roue dans les phases de freinage puis accélération, et inversement.
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ils auront au moins contribué à approfondir un sujet que son auteur souhaitait probablement maintenir dans la débilité. Mesure tes propos. Je ne te manque pas de respect. A moins que tu souhaites peut-être m'intimider ?🤔 Intéressant de constater vos commentaires conflictuels. Bien à l'image de la société.
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Je suis d'accord avec cette remarque, une explication à ceci a été étudié par Tocqueville avec la théorie de l'insatisfaction croissante. Ci-dessous je cite le résumé du texte en pdf joint généré par Perplexity pro: En gros : mieux ça va, mieux on veut que ça aille... " Résumé du Paradoxe de l'Insatisfaction Croissante selon Tocqueville Le paradoxe de Tocqueville, formulé au XIXᵉ siècle, révèle que l’amélioration objective des conditions sociales amplifie paradoxalement le sentiment subjectif d’insatisfaction. Ce mécanisme s’explique par l’élévation des attentes individuelles et collectives, qui évoluent plus rapidement que les progrès réels. Par exemple, en France, malgré une réduction de 80 % des morts sur les routes depuis les années 1970, l’intolérance face aux accidents routiers n’a jamais été aussi forte, illustrant comment un référentiel social plus exigeant transforme les avancées en frustrations. De même, les services publics, bien que techniquement améliorés, voient leur satisfaction chuter de 74 % à 49 % entre 2021 et 2022, car la dématérialisation accroît les attentes de réactivité et de personnalisation. Cette dynamique s’observe également dans les domaines de l’égalité et des discriminations. La France, pourtant l’un des pays les plus redistributeurs (57 % de la richesse nationale redistribuée), fait face à une insatisfaction croissante liée à la perception des micro-inégalités. De même, la baisse objective de l’homophobie ou du racisme contraste avec une sensibilité accrue à ces phénomènes, alimentée par les réseaux sociaux et une moindre tolérance aux comportements résiduels. Tocqueville soulignait déjà que la démocratie, en égalisant les conditions, exacerbe la « passion pour l’égalité », rendant toute inégalité résiduelle insupportable. Les limites de ce paradoxe résident dans ses variations contextuelles : la satisfaction reste plus élevée dans les petites communes que dans les grandes villes, et les inégalités économiques objectives influencent encore les perceptions. Par ailleurs, les médias et les réseaux sociaux amplifient les frustrations en surreprésentant les problèmes, éloignant les citoyens d’une évaluation réaliste des progrès. Pour les politiques publiques, cela implique de gérer non seulement les améliorations concrètes, mais aussi les attentes et la communication, en privilégiant la proximité humaine et l’éducation historique. Ainsi, le paradoxe de Tocqueville reste une clé essentielle pour comprendre les défis des sociétés démocratiques modernes, où le progrès nourrit autant l’espoir que la déception. " La Vérification Empirique du Paradoxe de l'Insatis.pdf
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