En fait, c'est tout le secret. Mais pas toujours évident à respecter ou instaurer selon ton environnement ou ton état physique (stress, fatigue ..)
Il faut parfois lâcher prise et faire confiance à ta roue dont les réactions peuvent être parfois surprenantes (elle veut vivre sa vie en s'adaptant aux terrains), mais c'est toi qui dirige quand même (y a pas de pilote automatique 😉). Tout à son importance : le regard, les mouvements (épaules, bassin, genoux, chevilles, pieds) avec cette combinaison tu dirigeras ta roue de manière "instinctive" (automatique) tout comme la marche.
Après, il y aura des jours avec et sans fun (la roue des mauvais jours..). Surtout, lors d'un usage journalier, Il y a un partage de la route à bien intégrer au quotidien (grandes agglomérations) et connaître ses limites (pas de prise de risques inutiles).
ça c'est bon !