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S3RG3I

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Messages posté(e)s par S3RG3I

  1. Hello @Mrblitz
    First of all it would be nice for you to appear on the post dedicated to this and then to write in French. Google translate works fine, the proof, I do not speak English.
    When I post on an English speaking forum, I do it English, so a little courtesy, thank you.

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    • +1 1
  2. Bonsoir à tous, je suis a la recherche du schema de montage des LEDs avec le contrôleur, j'ai démonté les miennes il y a plusieurs mois et je ne sait plus lesquelles sont branchées à quoi...
    Vu qu'en plus les câbles à connecter ne sont pas de même couleur côté contrôleur,  pas moyen de deviner. 
    Merci d'avance
    Ps: cables côté LEDs :
    Bleu + Rouge
    Blanc + Noir
    Jaune
    Rouge +  Noir
    Quelles leds??? L'éclairage, freinage ?

    Envoyé de mon Mi MIX 2 en utilisant Tapatalk

  3. Il y a 9 heures, misc a dit :

    Merci du témoignage positif @Neo-Anubis . En la bricolant un peut elle est sûrement bien. C’était le rapport poids / autonomie / reviews qui convenais à mon épouse.

    J’ai pu régler la suspension / amortisseur arrière en devisant les deux grosses Allen a l’extérieur du bloc, qui permet de le tourner pour accéder aux têtes des vissés qui serrent les ressorts. Il faut auparavant débloquer celles ci avec les petites Allen qui les tiennent.

    Sinon dans le genre peut impressionné, la fiche de charge est sortie à la première utilisation ?

     

    4F12B2D3-32DF-4543-9484-168846B1B956.jpeg

    C'est le contre-écrou qui n'était pas serré.

    Un contrôle draconien des serrages est impératif, voire mettre du frein-filet pour éviter toute surprise.

    • +1 1
  4. Trottinettes à Paris : et si on se trompait de combat ?

     

     

    Les tensions autour des trottinettes sont en réalité révélatrices du poids encore prépondérant qu’occupe la voiture en ville et du peu d’espace laissé aux autres modes de transport.

     

    Par Sébastien Billard

     

    Publié le 16 juin 2019 à 09h00

     

    La guerre contre les trottinettes est déclarée. Interdiction de stationnement sur les trottoirs, limitation de vitesse à 20, voire 8 km/h… Après des semaines de vives et incessantes polémiques, Anne Hidalgo s’est résolue le 6 juin à prendre une poignée de mesures pour réguler l’usage de ces engins en libre-service, apparus il y a quelques mois dans les rues de la capitale, accusés de causer un nombre grandissant d’accidents et d’occuper de manière anarchique un espace public déjà surchargé. L’objectif de la maire de Paris : pacifier les rues de la capitale, mais surtout couper l’herbe sous le pied de ses adversaires à un an des municipales, alors que ces derniers ont fait de ce sujet un angle d’attaque.

     

    S’il semble logique de réguler l’usage d’un nouveau mode de transport, l’ampleur de la polémique générée par l’apparition de ces modestes trottinettes, et le caractère parfois hystérique qu’a pu prendre le débat, a toutefois de quoi surprendre.

     

    Les « écraseurs de la route »

     

    Les trottinettes, symbole d’un capitalisme effréné ? Le fonctionnement des opérateurs, qui proposent ce service de mobilité n’a, il est vrai, parfois rien de très reluisant, comme le montre la précarité des « juicers », ces travailleurs indépendants qui rechargent les engins la nuit et chez eux.

     

    Peut-on pour autant aller jusqu’à parler de « colonisation de l’espace public » par ces entreprises ? Que des sociétés privées utilisent cet espace pour faire émerger un nouveau mode de transport n’a en tout cas rien d’inédit. « Au XIXe siècle, ce ne sont pas les municipalités ni l’Etat qui ont créé puis développé les premières lignes de bus, mais des opérateurs privés », rappelle l’historien Arnaud Passalacqua, spécialiste des transports et des mobilités.

     

    En 1826, des premiers omnibus circulent à Nantes, puis deux ans plus tard à Paris. Plusieurs sociétés se font concurrence sur la route, sans que les pouvoirs publics imposent la moindre régulation. « Il faudra attendre une vingtaine d’années pour que des premières règles soient établies », précise l’auteur de « la Bataille de la route ». Les trottinettes sont aujourd’hui, par ailleurs, loin d’être les seuls engins à prendre de la place sur les trottoirs parisiens. Les scooters y stationnent allègrement sans que cela ne suscite le même niveau d’indignation.

     

    LIRE AUSSI > D’Henri IV à Anne Hidalgo : des siècles d’embouteillages à Paris

     

    L’avalanche des réactions indignées au moindre accident impliquant une trottinette a aussi de quoi interroger. Il ne s’agit pas ici de nier l’augmentation de ces accidents et leur éventuelle gravité (même s’il est encore difficile de disposer de chiffres précis), ni d’exonérer de leurs responsabilités les usagers ne respectant pas le Code de la Route. Mais, là encore, en matière de transport, les trottinettes n’ont rien d’exceptionnel. « Toute technologie, à ses débuts, provoque toujours des accidents. En 1900, quand elles sont apparues, on surnommait les automobiles les “écraseurs de la route” et on n’a pas pour autant interdit la voiture », souligne Arnaud Passalacqua.

     

    « Il faut un temps plus ou moins long pour que l’objet s’adapte à l’environnement et que la société lui trouve une juste place. C’est ce qui s’est passé avec la voiture qui, d’ailleurs, continue malgré tout de générer un nombre important d’accidents. »

     

    Autre problème : la focalisation sur les accidents de trottinettes, ou le comportement discutable de certains utilisateurs, a tendance à occulter une réalité : ce sont les « motorisés » – voitures, poids lourds et deux-roues – qui sont de loin le principal danger pour un piéton dans une ville comme Paris. Les trottinettistes n’ont pas par ailleurs le monopole du non-respect de certaines règles : des études ont soulignéque les automobilistes sont loin d’être exemplaires en matière de respect du Code de la Route.

     

    « L’espace public est un champ de bataille »

     

    Pourquoi, alors, tant de haine envers les trottinettes ? D’abord, sans doute, parce qu’il s’agit d’un engin hybride qui empiète à la fois sur l’espace de la voiture – la route – et celui du piéton - le trottoir. D’où des réactions épidermiques de toutes parts.

     

    Ensuite parce que la trottinette a tout du coupable idéal, symbole d’un espace public en profonde mutation. Pendant des décennies, l’aménagement urbain dans des villes comme Paris était pour le moins basique, avec un espace public fortement ségrégué. Il y avait d’un côté l’automobile, de l’autre le piéton. Cette façon d’organiser l’espace public est née au XIXe siècle, avant même l’arrivée de la voiture. L’idée était alors d’isoler les piétons du cheval, à la fois pour des raisons de sécurité et d’hygiène. « Avec l’arrivée des véhicules motorisés, c’est devenu une séparation entre, d’un côté, ce qui roule, et de l’autre, ce qui marche », rappelle Arnaud Passalacqua.

     

    Comment Paris est devenue la capitale mondiale de la trottinette électrique… à ses dépens

     

    Cette manière de partager l’espace public a commencé à être remise en question au début des années 2000, avec la création de larges couloirs de bus, puis de lignes de tram et de pistes cyclables. Non sans provoquer de fortes résistances ! Pendant des années, la voiture était reine, elle était la vraie dynamique des villes et la question du partage de l’espace public ne se posait pas. Mais ce système est aujourd’hui en train d’exploser. « Le nombre de modes de transport augmente, chacun d’entre nous construit sa solution de mobilité », estime Arnaud Passalacqua.

     

    « L’espace public est un champ de bataille avec beaucoup plus de combattants qu’avant, donc de plus en plus disputé, d’où des frottements et des tensions. »

     

    Renverser le rapport de force

     

    Comment, alors, faire cohabiter tout le monde, dans une ville ultra-dense comme Paris, où l’espace est si rare ? Vouloir régler la situation en interdisant ou en diabolisant un mode de transport n’aurait aucun sens, prévient le sociologue Eric Le Breton :

     

    « La présence des trottinettes n’est pas un problème public de première importance, mais plutôt un révélateur du poids encore prépondérant qu’occupe la voiture en ville et du peu d’espace que se disputent les autres acteurs – les piétons, les cyclistes, etc. »

     

    Pour ce spécialiste de la mobilité, la présence des trottinettes doit être l’occasion de réfléchir à un meilleur partage de l’espace public, et considérer que la voiture n’est plus le seul acteur de la ville.

     

    LIRE AUSSI > Réduire la place des voitures à Paris : « C’est la droite qui a commencé »

     

    En la matière, des progrès ont été faits ces dernières années, note ce spécialiste. « L’usage de la voiture est en nette diminution. Mais sa place reste énorme en comparaison du nombre de personnes qu’elle transporte », poursuit-il.

     

    « Elle structure toujours la totalité des déplacements urbains. C’est elle qui continue de définir l’espace et le rythme. Les piétons, les cyclistes, les utilisateurs de trottinettes doivent se plier à une infrastructure élaborée pour la voiture. »

     

    Jugeant le Code de la Route actuel, élaboré pour la voiture, totalement obsolète et inefficace dans les grands centres urbains, Eric Le Breton milite pour qu’il soit remplacé par un « Code de l’Espace public ». L’idée ? Etendre le principe des « zones de rencontre » (espaces semi-piétons) à tout un quartier, et pas seulement à une simple rue, élargir les trottoirs, faire converger les vitesses de l’ensemble des modes de transports en abaissant celle des voitures, et surtout redonner la priorité aux plus « faibles », donc aux piétons et aux « non-motorisés ».

     

    « Actuellement, la situation est étonnante. C’est le plus gros, le plus puissant et le plus dangereux qui a la priorité sur les autres. Il faut renverser ce rapport de force. »

     

    Sébastien Billard

     

      

     

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  5. dommage article payant

    Oui je sais. Dans l'idée, ils expliquent que les piétons, automobilistes, cyclistes n'ont pas envie de partager leur macadam et pourtant, les NVEI c'est l'avenir.

     

    Ils donnent deux exemples ; deux américaines ravies de découvrir Paris avec les trotts de loc, un groupe de trotteurs dont une dame avec de l'arthrose, qui ne pourrait pas partager ces instants avec ses petits enfants s'il n'y avait pas la trottinette électrique.

     

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  6. il y a une heure, Marco73 a dit :

    ...pour moi c'est une perte de temps car "l'affaire est entendue"et hors de question de faire la quille à 20km/h sur une chaussée, après avoir gaspillé 2000 balles dans l'électrique je vais maintenant m'efforcer de sauvegarder le plus longtemps possible l'utilisation de mes 3 vieux véhicules diésel pour me rendre au taf parce que eux ne me coûte rien et sont légaux...

    Malgré ton avatar, je n'irai pas à la guerre à tes côtés!!! On baisse bien vite le pavillon par chez toi!!!!?

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  7. Faut pas regretter mon vieux! Fais tes comptes: en 8 ans tu as économisé de quoi acheter plusieurs trott et tu as notoirement amélioré ton espérance de vie. Moi aussi, j'ai arrêté de fumer, il y a un peu plus d'un an, sous pression d'un ultimatum médical. Ceci dit, ça me manque encore tous les jours...
    Les comptes sont faits. Il y a 8 ans 300€ par mois minimum pour les clopes. Aujourd'hui, 40€ de vape!
    La trottinette je pense que le rapport coût/économie doit être encore bien meilleur par rapport à ma golf diesel pourrie!!!! (La pauvre, 427000 kms quand même !!!)

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  8. Entre péter un câble dans les bouchons (en toute légalité), péter un câble dans les transports (en toute légalité) et glisser le sourire aux lèvres (en toute illégalité), mon choix est fait.
    La liberté d’être de bonne humeur, d’arriver à l’heure, de faire un doigt au système et aux lobbys .
    De toute façon, une fois qu’on a pratiqué la glisse urbaine, ce n’est que la mort dans l'âme qu’on abandonne cet art de vivre. Et en fait, pour la plupart d’entre nous je pense que ce n’est pas possible de faire machine arrière. Vous le savez comme moi.
    Combien de temps tiendrez vous, à faire les moutons, après toute cette liberté dont vous avez jouit?
    Même combat que pour la vape. J'en ai marre d'être stigmatisé!!!
    Je suis désolé d'avoir arrêté de fumer il y a 8 ans grâce à la vape. On s'est fait limite insulté et maintenant que je choisis un nouveau mode de transport ça recommence !!!! À croire que je suis toujours dans les bons coups !!!

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