Le décret approche... 

Source : https://www.lyoncapitale.fr/actualite/lyon-quelle-legislation-a-la-rentree-pour-les-trottinettes-electriques/amp/

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Lyon : quelle législation à la rentrée pour les trottinettes électriques ?

Par : Justin Boche

il y a 19 heures

Trottinette © Tim Douet

Port du casque, amendes, interdictions, découvrez la réglementation qui sera appliquée à partir de la rentrée 2019.

Une nouvelle législation concernant les trottinettes électriques, monoroues, gyropodes, hoverboards va entrer en application à la rentrée prochaine. “Après plusieurs mois de travail et de concertation avec l’ensemble des acteurs concernés, les ministères de l’Intérieur (Délégation à la sécurité routière) et des Transports viennent de finaliser un projet de décret modifiant le Code de la route. Il vient d’être notifié à la Commission européenne et sera présenté au Conseil national d’évaluation des normes (CNEN) puis au Conseil d’État”, a écrit la préfecture du Rhône.

Port du casque, amendes, interdictions, découvrez la réglementation qui sera appliquée à partir de la fin du mois. 

Règles générales : 

• Il faut avoir au moins 12 ans pour avoir le droit de conduire un engins de déplacement personnels
  (EDP) motorisé. 
• Le transport de passagers est interdit : c’est un engin à usage exclusivement personnel. 
• Il est interdit de porter à l'oreille des écouteurs ou tout appareil susceptible d’émettre du son.

Quels équipements porter ? 

• De nuit, ou de jour par visibilité insuffisante, et même en agglomération, ils portent un vêtement ou équipement rétro-réfléchissant (par exemple un gilet, un brassard, ...)
• Les EDP motorisés doivent être équipés : de feux avant et arrière, de dispositifs rétro-réfléchissants (catadioptres), de frein, et d’un avertisseur sonore.
• Il est interdit de circuler avec un engin dont la vitesse maximale n’est pas limitée à 20 km/h.
• Enfin le port du casque ne sera pas obligatoire, mais recommandé.

Où pourra-t-on rouler ? 

• Les EDP motorisés sont interdits de circuler sur le trottoir (sauf si le maire prend des dispositions afin de les y autoriser). Sur les trottoirs, l’engin doit être conduit à la main sans faire usage du moteur. 
• En agglomération, ils ont obligation de circuler sur les pistes et bandes cyclables lorsqu’il y en a. À défaut, ils peuvent circuler sur les routes dont la vitesse maximale autorisée est inférieure ou égale à 50 km/h.
• Hors agglomération, leur circulation est interdite sur la chaussée, elle est strictement limitée aux voies vertes et aux pistes cyclables.
• Le stationnement sur un trottoir n’est possible que s’ils ne gênent pas la circulation des piétons. La loi mobilités permettra aux maires d’édicter des règles plus précises de leur choix.

Quelles sanctions ? 

• Si vous ne respectez pas les règles de circulation : 35 euros d’amende (2e classe) 
• Si vous circulez sur un trottoir sans y être autorisé : 135 euros d’amende (4e classe)
• Si vous roulez avec un engin dont la vitesse maximale n’est pas limitée à 20 km/h : 1 500 euros d’amende (5e classe)

Il nous faudra patienter avant d’avoir la chance de le recroiser sur nos parcours respectifs.

D’ici son retour, beaucoup de choses se seront passés. 

Un tour du monde, gyroroue ou pas, reste une super expérience  ? ? !!!!

Nous lui souhaitons un bon voyage. Qu’il en profite un maximum ! 

J’allais dire que j’essayerai de venir mais, je crains que ton trajet ne tienne pas compte du TOUR DE FRANCE 

A partir de 24-25 c’est trajet de l’etape  

Il y a 2 heures, Cormo a dit :

J'avoue que la motivation du gouvernement sur ce sujet m'échappe.

Je peux sans doute éclairer sur ce point...

business is business !

tout comme l’assurance est devenue obligatoire pour des raisons économiques : ? exemple, les VAE n’ont pas besoin d'assurance mais ils pourront aller plus vite et partout...

Si tu es assureur et que tu es sollicité pour donner ton avis, tu vas tout faire pour distribuer des produits d’assurance et collecter les sous qui vont avec (c’est ton gagne pain).

Si tu fais une analyse des enjeux économiques ou que tu es déjà présent en tant que professionnel et qu’on te sollicite, tu vas rapidement expliquer/constater que le marché des Edpm est aujourd’hui ultra dominé par les constructeurs chinois ! Tout comme le VAE il y a quelques temps... hooo mais qu’a-t-on fait déjà ????

on l’a protégé un minimum pour faire émerger des producteurs/marques français, développer un écosystème et ne pas faire que de l’import direct qui ne serait que de la fuite de liquidité vers la Chine : on veut créer de la valeur, un savoir faire, pérenniser la chaîne de valeur et être source d’emplois avec ça (source expliquant par exemple la démarche de protection des VAE https://www.usinenouvelle.com/article/le-sprint-du-velo-electrique.N863860)

c’est la même chose pour les edpm. Il est un peu trop tôt pour le rendre accessible à tous. Donc, on met des mesures contraignantes (et les taxes d’importation devrait suivre aussi)

on va quand même pas tous rouler chinois????

Il y a 2 heures, Koxx a dit :

merci

oui, les tractations autour du 25/20 sont assez hallucinantes...

Il y a 2 heures, minch a dit :

Pendant ce temps là, le point essentiel passe à la trappe ?

On en a déjà parlé : le hors agglo

J'ai également lu CR. L'avenir semble assez sombre en effet.

Je rejoins  @Tank : les 2 sujets sont liés. Même s'il s'agit de 2 revendications propres, il ne faut pas en lâcher une plus que l'autre, car il y a un lien direct

Je ne me vois :
- ni faire du hors agglo à 20km/h max
- ni me déplacer dans Paris sur la chaussée à moins de 20km/h

Car à cette vitesse, peu importe l'endroit, on est davantage un obstacle qu'un autre usager ! 

On devra payer une assurance pour pouvoir rouler moins vite qu'un vélo et sans avoir la liberté de circuler ???

J'ai aussi vu passé cette news dans mon flux d'actualité. 

Franchement, j'ai envie de ??☠️

j'ai craqué

 Conclusion : RAS...

J’ai mis à peine plus d’1h. Aucun soucis particulier.

piste cyclable quasi tout le long.

Merci à tous.

j’ai bien noté vos conseils et vos recommandations d'itinéraires bis. 

C’est un trajet que je vais faire seulement quelques fois, notamment dès ce week-end. Globalement ça devrait le faire en faisant attention 

Je vous dirai s’il y a la moindre infos à noter. 

Merci à tous pour votre aide...

Je n'ai aucun soucis sur le partie intra-muros : je l'emprunte déjà et il m'arrive de changer de selon la circulation ou au grès de mes envies... J'ai peut-être même déjà croisé certains d'entre vous

J'ai juste le syndrome du parisien qui doit traverser le périph ???

Merci @minch

Bonsoir à tous,

Je sollicite l'aide des personnes habitants le sud-est parisien...  j'ai notamment vu que quelques randonnées s'étaient déroulées dans la zone. 

Voici le trajet que je dois faire. Les zones en vert sont des zones que je connais et ça devrait bien se passer, m'étant déjà aventurer sur le quai de Charenton... Par contre, les zones rouge/jaune, je suis à l'écoute de toutes suggestions et/ou tous conseils.

J'ai tenté de checker sur google streetview, mais rien ne vaut le conseil d'autres utilisateurs.

J'ai donc plusieurs questions à vous soumettre :
1) Ce trajet vous semble-t-il viable sur ces parties ?
2) Y aurait-il des modifications/pièges/travaux estivaux qui rendraient ce trajet plus compliqué que prévu ?
3) Le temps de trajet estimé vous semble-t-il réaliste ?

D'avance merci
Fab

Bonne roue que j'ai eu l'occasion d’essayer en boutique. Généralement, c'est du 340 ou 650...

Je ne savais pas que ce modèle existait en 800wh ?

Il essaye de faire la synthèse de la situation et c’est tout à son honneur.

Le discours se veut calme et constructif. 

Il précise également que le modèle économique des entreprises de free floating est basé sur une activité hors la loi (la trottinette électrique n’étant pas autorisé sur la voie publique).

Sur la fin du 5ème épisode, il constate le manque de réaction des autorités, l’absence des contrôles, le manque de moyens des polices de proximité (qui a autre chose à faire) et la vitesse à laquelle les mauvais comportements (rouler sur les trottoirs) sont apparus très vite : « pas de sanction, pas de risque, pas de respect des autres »

Il déplore aussi que le fait d’avoir laisser la situation s’envenimer (un peu comm le crabe qu’on cuit dans l’eau froide... jusqu’a ce qu’il soit trop tard), d’avoir laisser les gens s'énerver contre tout ça, le manque de bon sens des autorités dans la gestion de la situation a générer une animosité très très forte contre tous les EDPM (passage du regard curieux a un regard accusateur).  

suite au 6ème épisode. 

@Christian-91 voilà

Il repart de la genèse : les overboards de mauvaise qualité, un secteur développé en Chine, des engins jouets, et peu à peu l’apparition de vrais véhicules... avec le boom par la m365 et le free floating !

Il rappel aussi la loi en vigueur : nos edpm ne sont pas homologués pour aller sur les voies publiques, et donc pas autorisé : c'était de la tolérance.

Partiellement intéressant, parfois incomplet. Un peu contradictoire car se présente comme non spécialiste mais affirme suivre le secteur depuis une grosse décennie (quand même).

Mais je retiens que son analyse aurait été vraiment pertinente il y a 1 an en 2018 quand le free floating est arrivé... là, il arrive après la guerre. 

Il raconte aussi comment les USA ont réagit.

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  Le 04/07/2019 à 00:40, FabS a dit :

C’est bien ce que j’ai dit. 

Ho oui : on se retrouve avec une assurance spécifique obligatoire pour rouler seulement en agglomération, bien moins vite que des cyclistes qui eux n’en n’ont pas besoin et pourront aller partout (et pourtant des accidents de vélo y’en a un paquet sur Paris)  

Le lobbying assurance a fonctionné. 

La directive européenne sur les assurances engins motorisés date de 2006. Les «lobby» doivent avoir une Doloreane ...

Une directive n'est pas du lobbying  

Le lobbying n'a d'ailleurs rien de scandaleux : les responsables politiques ont consulté les professionnels et/ou ont été contacté par ceux-ci.

Les rencontres de place sont régulières et la FFA (entre autre) est là pour ça.

Je serai une assurance, oui, je demanderai à ce qu'on rende obligatoire une assurance spécifique de ces engins : business is business ???

Il y a 2 heures, Fabrice10 a dit :

Perso pour finir, si je devait désigner un coupable, je pointerais la connerie humaine. 

C’est bien ce que j’ai dit. 

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Édit : ah oui ! Et les lobby ! Ils ont certainement eu un rôle important dans ces decisions alacon ! Vous ne croyez pas ? 

Ho oui : on se retrouve avec une assurance spécifique obligatoire pour rouler seulement en agglomération, bien moins vite que des cyclistes qui eux n’en n’ont pas besoin et pourront aller partout (et pourtant des accidents de vélo y’en a un paquet sur Paris)  

Le lobbying assurance a fonctionné. 

Je compatis et partage complètement... même si je vis à Paris depuis dix ans. 

Le free floating a été l’élément déclencheur : on a mis entre les mains de n’importe qui un engin sans aucune sensibilisation : déjà qu’en voiture, scooter, vélo et à pied, c’est pas la joie, la trottinette n’a fait que refléter les mauvaises habitudes. 

Et statistiquement, plus on est, plus la probabilité d’avoir un soucis augmente.

A cela, on a confondu engin et comportement !! Avec un l’amalgame entre utilisateurs occasionnels et récurrent (qui connaît le comportement son engin et ses faiblesses) 

bref une vrai cata...

avant ca j’ai usé une trott pendant 2 ans sur 11000km et les gens étaient curieux. 

Depuis le regard des gens a vraiment changé et on est catalogué.

Oui oui, vous avez bien lu!!!!

On arrête pas le progrès..... ou pas 

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LIFESTYLEBOGO va lancer des trottinettes bi-places… et ça s’annonce très dangereux

La société BOGO va lancer des trottinettes électriques taillées pour accueillir deux personnes. Et ça s’annonce très dangereux…

Il y a

 7 heures, 

le 

 3 juillet 2019

Par

 Stéphane Ficca 

© BOGO

La BOGO’s attitude

Les trottinettes électriques en location qui ont envahi les grandes villes ces derniers mois, sont très largement pointées du doigt, de par leur côté envahissant, mais aussi leur aspect dangereux. On se souvient notamment du bug qui a touché les modèles Lime, avec des trottinettes qui actionnaient le frein d’urgence de manière inopinée… À cela s’ajoutent également les comportements de certains utilisateurs, et notamment ceux qui ont la bonne idée de monter à deux sur une seule et même trottinette…

Du côté de chez BOGO, on a décidé de lutter contre ce fléau, en créant… une trottinette bi-place. En effet, le groupe a décidé de proposer des trottinettes plus longues, pour accueillir deux personnes, avec en prime la présence d’un second guidon, en plus du guidon principal. De cette manière, la personne qui monte à l’arrière, gagne, en théorie, en stabilité (et donc en sécurité).

Le gabarit XXL de ce type de trottinette bi-place permet également à BOGO d’installer une batterie plus conséquente, pour une meilleure autonomie. Parallèlement, le groupe BOGO proposera également un modèle plus classique, taillé pour une seule personne. La société devrait lancer ses trottinettes dans les prochaines semaines, avec un démarrage focalisé uniquement du côté de la Californie et du Nevada.

 

 

« L’idée est née du constat de plusieurs blessures et accidents causés par deux personnes roulant ensemble sur un scooter électrique monoplace standard avec un seul guidon » explique le groupe BOGO. Le groupe estime que cela permettra également à tous ceux qui ne peuvent pas conduire une trottinette électrique de profiter de ce nouveau moyen de locomotion urbain, en prenant place à l’arrière.

Difficile toutefois de savoir si ces trottinettes bi-places sont réellement plus sûres… Certes, le second guidon permet au passager de profiter d’un peu plus de stabilité, mais cela ne devrait pas pour autant faciliter la conduite de la trottinette. À voir maintenant quels seront les premiers retours lors de la mise en circulation de ces trottinettes BOGO. Réponse dans quelques semaines.

BON VENT !!! 

Et on ne vous remercie pas !

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Trottinettes électriques à Paris : la moitié des opérateurs plient bagage

Serait-ce la fin de la «bulle trottinettes» ? Sur un marché parisien saturé, six opérateurs sur douze suspendent leur service.

 Olivier Boitet/LE PARISIEN

Par Sébastian Compagnon

Le 2 juillet 2019 à 18h30, modifié le 2 juillet 2019 à 19h49

Un petit tour et puis s'en vont… Quelques mois seulement après leur arrivée à Paris, six opérateurs de trottinettes électriques en « free floating » - sur les douze que compte la capitale - ont décidé de se retirer. Bolt, Wind, Hive, Ufo, Tier et Voi ont mis leur flotte à l'arrêt ces derniers jours. Tous ces acteurs ou presque évoquent une « interruption momentanée ». Mais aucun ne donne de date précise de reprise…

Les observateurs avertis ont remarqué la disparition progressive de ces opérateurs depuis l'intervention de la maire de Paris sur ce dossier, il y a trois semaines. Le 6 juin, Anne Hidalgo (PS) avait demandé aux acteurs de réduire leurs flottes, de brider les véhicules à 20km/h et annoncé l'interdiction de stationner sur tous les trottoirs début juillet. Mais ce qui a sans doute refroidi les ardeurs de ces jeunes entreprises est l'intention de la municipalité de limiter, à terme, « à deux ou trois le nombre d'opérateurs » présents à Paris, via un appel d'offres.

Faut-il continuer à batailler sur un marché parisien archi-saturé ou bien arrêter les frais ? C'est la question qui se pose désormais à ces acteurs de la « micro-mobilité partagée », un univers sans cadre légal stable et où la rentabilité est encore loin d'être acquise.

« Profusion d'acteurs, vols et dégradations »

Pourtant très présent sur le front de la communication, Bolt (ex-Txfy) a décidé de « retirer momentanément » ses trottinettes électriques des rues de Paris. « Cette décision est motivée par la profusion d'acteurs présents sur le marché - il y a aujourd'hui trop de trottinettes en service proportionnellement à leur taux d'utilisation - et par les coûts de maintenance liés aux dysfonctionnements et actes malveillants (dégradations, vols) subis », explique la société estonienne dans un communiqué. L'entreprise attend qu'un « cadre plus propice » émerge à Paris pour envisager son retour.

La start-up suédoise VOI, elle, affirme qu'elle part pour mieux revenir. « Dès la semaine prochaine, nous déploierons un nouveau modèle de trottinettes. Conformément à la demande de la maire de Paris, nous réduisons notre flotte à moins de 500 pour éviter la sursaturation de l'espace public, qui a créé un vrai ras-le-bol chez les Parisiens ». La société allemande Tier (300 engins) assure elle aussi qu'elle prépare son retour avec un modèle plus durable, courant juillet. La faible durée de vie des trottinettes électriques partagées - d'environ trois mois selon une étude du Boston Consulting Group - est l'un des principaux freins à la rentabilité de ce type de service.

Sébastian Compagnon@SebCompagnon

 

Une étude du Boston Consulting Group analyse le modèle économique des #trottinettes électriques en libre-service. La rentabilité est loin d'être acquise, puisque le temps d'amortissement d'un engin (115 jours) est supérieur à sa durée de vie (3 mois) https://www.bcg.com/fr-fr/publications/2019/promise-pitfalls-e-scooter-sharing.aspx …

 

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10:34 - 17 mai 2019

Informations sur les Publicités Twitter et confidentialité

 

The Promise and Pitfalls of E-Scooter Sharing

Providers will need to overcome important hurdles to secure their share of this exploding market—and help e-scooters become a staple of urban micromobility.

bcg.com

 

Hive, le service proposé par une filiale du groupe Daimler et BMW, était arrivé plein d'ambitions au mois de mars. Sa flotte d'environ 250 engins est désormais à l'arrêt. Mais l'opérateur allemand promet aussi de reprendre son activité avec une nouvelle trottinette, plus robuste.

L'entreprise allemande Wind, très présente lors des premiers mois de 2019, a plié bagage dès le 9 juin. Interrogée par email, elle ne donne aucune explication. Quant à Ufo, filiale de la marque espagnole Seat, elle n'a fait qu'une brève apparition dans le paysage parisien, en ne proposant que quelques dizaines d'engins.

Un marché en phase de concentration

Les Parisiens ont dorénavant le choix entre Lime, Bird, Dott, Circ (ex-Flash), Jump (filiale d'Uber) et B -Mobility (parrainé par Usain Bolt). Après une phase de prolifération anarchique, le marché entre dans une phase de concentration. Les survivants multiplient les initiatives pour mieux réguler leur flotte et cesser d'envahir les trottoirs. Mais certains d'entre eux pourraient se tourner vers d'autres marchés plus ouverts, après avoir utilisé Paris comme simple rampe de lancement.

Bonjour,

Ou l’as-tu acheté ? Qu’en est-il de la garantie ?

Il y a 2 heures, loph a dit :

J'ai quelques expériences (assez peu quand même) dans d'autres contextes collectifs de faire remarquer à quelqu'un qu'il manque manifestement à ses "devoirs". Passé l'état de surprise, ces quelques uns obtempèrent volontiers . C'est moins le cas en milieu "ouvert", dehors, et ça devient carrément improbable en mode circulation (là c'est souvent "va te faire f...." !).

Bon, j'abonde mais tentons bien de passer entre les gouttes

À+

En région parisienne, ça peut même dégénéré très très vite : "Qu'est-ce t'as? T'as un problème ? C'est quoi le problème ? Qu'est-ce tu veux ? De toute façon j'ai le droit ! " 

http://www.leparisien.fr/paris-75/paris-un-coup-de-couteau-pour-une-remarque-dans-le-metro-22-05-2019-8077389.php

Joie et bonheur... 

Pièce toujours disponible

Nous sommes des pro de la survie en milieu hostile ???

en fait ca dépend vraiment de ton niveau, de la rapidité de tes démarrages, de ta capacité à anticiper, à avoir un œil dans tes angles morts.... Et ça toi seul connaît la réponse.

Le trajet que tu décrit entre Montparnasse et Ballard en passant par Vercingetorix, porte de Vanves, et Bd Lefevre est sans doute un peu plus long mais plus cool que de descendre la rue Lecourbe

Je félicite ton reflex gmap, mais regarde bien les rues avec street view car en fait les pistes cyclables dans Paris sont aussi des voies bus partagées dans la circulation. Elles ne sont pas du tout des espaces sécurisés : tu y croiseras des piétons, des motos, des camions en livraisons, et des chantiers...