Je comprends tout à fait ta position, mais en théorie.
Chaque cas est particulier, la perception du déroulement d'une action dépend beaucoup des informations échangées à travers le regard, l'attitude, la posture, bref tout ce langage subconscient. Dans ce cas précis, le piéton était à l'arrêt complet et attendait que son chien ai fini de pisser de l'autre côte de la piste. Je venais de doubler 2 vélos qui déboulaient maintenant juste derrière moi, et impossible de stopper avant la laisse tendue en travers de la piste. Quand le quidam a réalisé la situation, j'ai vraiment eu l'impression qu'on dérangeaient sa petite promenade, au lieu de poser sa laisse par terre, ou de la larguer de l'autre côté de la piste, il a choisi la mauvaise option: ce jeter en avant pour traverser. Heureusement, j'avais entamer ma décélération, ce qui ma permis de l'éviter au ras des fesses, avec émotion du style "pfffiou, j'ai eu chaud" et je réitère qu'a cet instant je n'avait pas que des pensées positives à son encontre.
Quand je dis que j'espère que ma réaction ne soit jamais dictée par la peur, je ne voudrai surtout pas être assimilé aux vas en guerre de ce fofo, c' est exactement tout le contraire.
Si la peur envahie la conscience et dicte les actes, alors on à pas le choix de sa réaction, si la peur n'est pas maître, on peut choisir en conscience une sratégie adaptée, qu'elle passe par le fight, la fuite, les excuses.