Toute l’activité

Ha merde 20700 c est pas génial...

Cette batterie toute simple 16S1P nécessite des cellules 20700, ce qui est moins habituel que les 21700. Je ne sais pas s'il faut un spot welder, ou si les liaisons sont par simple contact. Cette roue minuscule demande de la douceur de pilotage, et ne tolère pas le moindre obstacle, même un simple bateau. Mais c'est une belle prouesse technologique.

bel exploit sportif cette descente mais cela est-il au moins agréable ? Pas certain

a 2990usd ca reste vraiment une bonne affaire, ca fait une race chez nous a 2500e ! sauf........ que begode fait du begode et c'est tout frais , vaut mieux attendre, le batch 2 ou 3! par contre la C8 me fait de l'œil , je me laisserais bien tenté!

plutôt d'accord avec tempus On est d’accord : des freins mécaniques sur une gyroroue seraient impossibles, car ils désolidariseraient la roue du pilote et mèneraient droit à la chute. Le freinage doit nécessairement être dynamique, géré par le moteur, pour ralentir l’ensemble roue + pilote. Mais en pratique, ce freinage reste progressif, et c’est bien là le problème : plus les énergies à absorber augmentent, moins ce “progressivement” semble suffisant. La vraie question n’est donc pas de revenir au frein mécanique, mais de savoir comment améliorer ou compléter le freinage dynamique pour répondre aux puissances croissantes de nos engins.

on fait comment pour changer les accus... C'est compliqué ? Les dimensions, la tension, la charge, c'est standard ??? Je les changerais bien sur la mienne mais il ne faudrait pas que le changement induise plus de risque de panne que les accus d'origine, même fatigués... la chute de tension et le danger dont tu parles, ça se manifestait par quoi ?

Ah, y faut r'connaître... C'est du brutal : Burp!

Non, les assistances accélération/freinage ne jouent pas sur l'assiette, c'est une attente contrôlée qui laissent le pilote "tomber" de sorte qu'il faut envoyer le steak pour rattraper le retard. Il est facile de tester le truc en tenant un balais en équilibre au creux de la main. Quand on attend un poil, il faut accélérer très fort. Effectivement tu as raison, le tilt back va franchement éblouir la populace. Mais les réglages de sensibilité créent des petits décalages transitoire, relativement négligeables. Quand on veut, on peut garder les pédales horizontales, par contre dans l'exemple suivant, on risque de s'auto-éblouir :

Certes elle maintient le tangage, mais... dans la limite des réglages : Tu as parlé de celui de l'assiette des pédales, mais il y a aussi les réglages "comuting" ou "offroad" ou autres assistances à l'accélération et/ou au freinage, sans parler du tilt back. Tout ceci a un impact sur l'assiette de la roue et donc sur sa distance d'éclairage.

Pas d avis? Tant pis je me jette a l' eau.J ai trouve un linkage hooplite et un amortisseur rockshox monarch rt3 , j'espère que ça va aller ensemble sans trop de galère notement les histoires de diamètre d oeillets...a dans 3 semaine pour le montage.

OK, désolé. Je comprends tes réserves, et je les partage, ce type d'engin n'est pas adapté au domaine public.

https://www.youtube.com/embed/WVtufATTbLU

euh, si, j'ai bien compris, merci... Je n'ai dit nulle part qu'il nous fallait des freins mécaniques, j'ai même écrit que c'était impossible, pour les raisons que tu évoques. En revanche, tant que tout ce qu'on a, c'est du frein dynamique, écrire que "la roue fait ce qu'on lui demande", c'est faux.... la roue fait ce qu'on lui demande, mais progressivement... et ce progressivement est de moins en moins compatible avec les énergies à absorber.

Lors de mon gonflage de pneu trimestriel sur v11 (prolongateur indispensable), j'ai constaté une petite fuite, entre prolongateur et valve du pneumatique. Après un coup d’œil au bout du prolongateur, j'ai vu que le joint avait mauvais aspect. Hop, une petite intervention s'impose. Dans cette vue, le pneu est côté gauche. Il faut commencer par dévisser l'obus Schrader du prolongateur avec un outil adéquat. Une fois obus et tige creuse sortis, on voit qu'ils sont sertis l'un à l'autre. Le fonctionnement est simple : la tige creuse ouvrira la valve du pneu lorsqu'on mettra le gonfleur. La tige creuse est légèrement écrasée, et elle est centrée à l'aide d'une bague avec un trou cruciforme, ainsi on est sûr d'appuyer juste sur l'obus du pneu. Le joint torique sort quand on pousse la bague blanche avec par exemple une tige en bois (brochette). Le joint d'origine, à gauche, n'est pas bien beau : En regardant ma réserve de joints toriques nitrile (dimensions métriques), le modèle kivabien est : Le 6.8 x 1.9 . Un peu de graisse silicone de plombier (une bonne habitude), on enfonce la rondelle et le joint (qui tient tout seul dans une gorge). On remet tige + obus en place. Épicétou.

Je ne suis pas sûr qu'il faille un frein plus puissant que l'acceleration, mais surtout un frein suffisant par rapport à la situation. En passant plus l'engin est puissant, plus le freinage pourra l’être aussi, ça va de paire. La difficulté éventuelle sera de savoir exploiter ce freinage. L'alternative sera de ne pas se mettre dans une situation ou l'on ne saura pas freiner suffisamment. (En passant, comme pour toutes les roues, rien n'obligera a rouler plus vite que 25 - 45 - ce que l'on sent. Une Twingo est capable de faire du 30 en centre ville, une P6 aussi. Et elle ne freinera pas moins facilement qu'une autre roue de gabarit équivalent, et aura éventuellement la possibilité de freiner plus fort.)

Désolé @Tempus , je vais être direct : tu n'as pas compris le concept d'engin pendulaire, avec un gus juste posé dessus. Des freins mécaniques seraient absurdes : l'engin serait freiné oui, le pilote non, et celui-ci aura du mal à conserver l'étanchéité de son épiderme quand il se sera incrusté dans l'obstacle. Essaye de rester debout pieds immobiles, dans le sens de la marche, sans te tenir, dans un métro sur pneu par exemple : impossible, notre inertie nous veut du mal...

Etant donné les engins dont on parle là, je ne suis pas tout à fait d'accord. Même le pilote le plus aguerri, avec la P6 la mieux reglée, va devoir subir l'absence de frein mécanique. Le fait que seul un frein dynamique soit disponible sur nos roues limite (rend impossible) la capacité pour les constructeurs de proposer un engin ayant un freinage plus puissant que l'acceleration (afin d'absorber également l'energie accumulée) Je sais pas vous, mais moi quand on me demande comment je fais pour freiner devant un obstacle, ma réponse c'est : je l'évite (et si je n'y arrive pas... je lévite jusqu'à ce que Newton fasse son travail).

Ah ben tant mieux. Tu peut vérifier que ce soit des SKF par leur couleur vert sombre (plutôt que noir). Ils dépassent avec l’amortisseur au niveau de la petite lucarne. De toutes façon tant qu’ils ne collent pas .. Pareil. J’apprécie toujours les non suspendues, mais elles sont usantes pour aller loin, et inversement les suspendues permettent une assurance qui évite de devoir freiner chaque fois que le sol deviens irrégulier.. Enfin bref

Je voyais plus cela d'un point de vue psychologique... Interprétation personnelle : Le pilote n'a aucun souci à accélérer franchement en faisant la course avec son voisin, mais lorsqu'il découvre que la voie est occultée par deux barrières il s'effraye et entame un freinage d'urgence. Le wobble débute alors par ses appuis mal contrôlés et dissymétriques. Coincé entre les barrières qui se rapprochent et le wobble qui se développe sa peur se transforme en panique et il choisit la chute. S'il n'avait pas pris peur il aurait simplement pu ralentir et passer entre les barrières. Le voisin, moins rapide et ayant une vue plus précoce sur l'obstacle à venir n'a eu aucun problème de wobble pour ralentir et s'arrêter. Mais je l'avoue, ce n'est ici que mon interprétation. À chacun de se forger son opinion pour s'éviter ce genre de mésaventure.

Sur la v11, le phare est fixe mais le faisceau a un clipping net, assimilable à un code symétrique. Je l'ai vérifié : V11 Le réglage d'assiette pédales perturbe cet éclairage. Donc, je crois comprendre que la v11y est muni d'un phare pivotant, peut-être avec faisceau conique (?), c'est une situation plus habituelle sur les roues modernes. Bien entendu, il n'y a pas de nivellement automatique, on n'est pas sur une auto avec phares xénon dont il faut compenser l'affaissement des suspensions. Par nature la roue maintient l'angle de tangage (profondeur).. IM ne communique pas là-dessus, probablement parce que la majorité des clients n'en ont rien à battre...

Le précédent proprio à fait le nécessaire pour du SKF si je dis pas d'anneries La suspension m'a vraiment changé la vie. je peux enquiller pas mal de bornes sans faire de pause, assis comme debout, que du bonheur 🥰

Ces images sont belles, on peut essayer d'analyser ça. Donc, le pilote amorce son freinage en baissant assez rapidement les fesses, cela débute le wobble. Il se redresse, mais le wobble diverge, l'amplitude devient ingérable... pouf. Il y a là une belle résonance jambes-engin-pneumatique qu'il fallait essayer de casser. Comment ?

La roue fait ce qu'on lui demande (*) , c'est le pilote qui gère accélération et freinage. Évidemment, pour un freinage efficace, il faut une position extrêmement "assise" que seuls les excellent pilotes sauront pratiquer. C'est comme à moto, seuls les excellents pilotes mettent le genou au sol... pas plus de 1% à mon avis... (*) selon réglages, la roue peut créer des ajustements temporels d'aide accélération/freinage, assez anecdotiques car il ne faut pas trop perturber l'équilibre du pilote.

Un petit wobble de plus qui finit dans les barrières : L'implication du stress dans le phénomène me semble évidente...ici.

On en revient aussi à ce qui a été déjà évoqué. Quid du freinage? Au premier accident grave ou mortel avec un piéton, chez nous on deviendra les parias..!