sbouju

Je dois être l'un de ceux qui "ont été"...? En tout cas (je touche du bois, quand même!), depuis le réglage de l'axe de la mienne début 2021 par le sorcier pas pro de Montigny-le-Bretonneux, on croirait véritablement ma S18 importée de Suisse, vu comme elle fonctionne, et c'est même devenu un véritable velours récemment, avec l'échange de son pneu

On veut des noms !

Cela donne sans doute aussi une plus grande marge pour ne pas se faire crocheter par une caillasse ou racine un peu haute? Mais perso, et ayant la possibilité de régler cette hauteur des pédales, sur la S18, je suis bien vite revenu à la position basse, après quelques jours de test en position haute: moins fatigant pour les accélérations et freinages, et sensation d'un meilleur équilibre général (en raison du centre de gravité plus bas, sans doute?), pour ce qui est des deux raisons principales.

Non, je ne cherche pas spécialement à mettre la pression la plus basse possible, mais juste à avoir le maximum de confort, ceci bien sûr sans risquer pour autant d'écrasement du pneu ou de déjantage. Pour l'adhérence, l'amélioration est déjà considérable par rapport à mon pneu d'origine, et ça me suffira donc amplement, compte tenu de ce qu'on est de toute façon en droit d'attendre sur ce type d'engin sur le gramouillé!

Perso, c'est cas n°1: obtenir le meilleur confort possible en mode "gravel" pépère, sachant que je ne sollicite que très peu la suspension (que je commence à dégonfler un peu aussi, d'ailleurs, en étant aux alentours de 1400/700 KPa, en ce moment).

Je ne sais pas si je descendrai si bas avec mon IRC Inoue tout neuf et avec le quintal à transporter, quand même, mais je baisse la pression sortie après sortie, en ce moment, et je m'en sens à chaque fois un peu mieux! Pour info, je dois être arrivé à environ 190 kilopascal, là...

Le fait est que sur les très nombreux chars à voile que j'ai pu observer, où les roulements sont mis à dure épreuve, ceux qui équipaient des flottes écoles avaient leurs roues très souvent équipées de graisseurs...

On le souhaite tous...! Pour autant, j'ai eu pas mal d'expériences, dans ma vie de plaisancier de base, où des tentatives d'étanchéisation se concrétisaient en de parfaites réussites... de conservation de l'humidité par derrière ! 🤡

Lorsque le GPS capte parfaitement les signaux des satellites (bon capteurs, et bonne exposition) alors sa mesure est parfaite, et a priori quelle que soit l'application, si on exclue les "mauvaises" éventuelles... Enfin, relativement parfaite, puisque ce n'est pas vraiment de la mesure en continu, mais du calcul à partir de mesures de positions tous les tel ou tel intervalle de temps; c'est d'ailleurs déjà un (petit!) problème en soi pour les mesures de vitesses instantanées et si on va un peu vite, ou cette vitesse apparait alors très lissée, comparée à une vitesse instantanée mesurée à partir de la circonférence et du nombre de tour de la roue et où l'affichage est très réactif.

Genre une petite roulette sous chaque pédale...?

Je ne suis pas un "pro" de EUC World (ni de la wheel en général, d'ailleurs...), mais il me semble bien que la vitesse qu'il affiche est fonction de certains réglages perso et sur lesquels on aurait la main... Dans l'affirmative, et en partant de la vitesse de la roue "constructeur" établie sur le nombre de tours qu'elle effectue (c'est l'approche la plus précise!) et en le modulant du coefficient modérateur qui va bien, on ne doit être loin d'une mesure exacte des distances et des vitesses.

D'autres que moi ont peut-être trouvé également cette petite patte cassée juste après sa vis de fixation (protection des fils de la batterie arrière gauche)...? Et le cas échéant, trouvé une petite astuce pour y remédier simplement plutôt que de racheter la pièce (si tant est qu'elle soit dispo quelque-part...) ?

Bonne nouvelle, en espérant que ça ira un peu plus loin que le stade où en est arrivé le développement du compagnon de WheelLog, qui tout en affichant correctement les principales données de WheelLog sur la fenix, empêche alors totalement de continuer d'utiliser cette dernière en ce qu'elle a d'intéressant et de supérieur.

Les numéros de série d'un même modèle sont-ils dans une séquence historique bien identifiable? Si oui, il suffirait de positionner dans cette série les évolutions notables, sans doute, parce que les "batches", c'est un peu comme les fournées des boulangers, et rien ne peut assurer que le pain du jour est meilleur que celui de la veille !

Bientôt aux Jeux Olympiques...?

On s'en doute un peu, mais je tâche tout de même de le mesurer pour l'objectiver avant un achat éventuel...

Oui, il ne faut pas hésiter à s'abstenir, quand ça va être inutile

Tu n'as pas fait le fameux trou, si je comprends bien, ou pas encore...?

Dans GPS Locker, il me semble me souvenir que chaque constellation a sa couleur, dans la colonne de gauche, où les GPS "originels" seraient en vert, par exemple...

Cela a plus à voir avec l'incapacité à effectuer au mieux telle ou telle tâche pourtant prévue dans les fonctionnalités qu'à de l'obsolescence. Et certains smartphones sont hélas nuls en GPS dès leur conception et leur mise sur le marché ! Puce insuffisante? Taille riquiqui de l'antenne...? Si ça peut aider, l'application Android qui me donne le plus de satisfaction en ce moment pour tester/comparer cette aptitude particulière est "GPS Locker". Exemple en images ci-dessous avec mes 3 bestiaux dans les mêmes (mauvaises) conditions.

Il ne faut pas confondre le hardware et le software, et c'est souvent (toujours?) le premier qui pèche, pas toujours de sa faute, d'ailleurs. Et il ne faut pas confondre non plus ce qu'apporte le relevé GPS sur un parcours ayant une distance et une durée suffisante, avec une mesure et un calcul GPS instantanés, comme la vitesse instantanée où rien ne vaut effectivement qqch. qui se fondera sur le nombre de tours de roue et sur sa circonférence exacte. Malheureusement, bien peu de smartphones ont une réception des satellites suffisante pour pouvoir compter sur eux pour leurs mesures à tout coup, et à plus forte raison si le smartphone est un peu enfoui dans les poches des vêtements, ne serait-ce que pour assurer sa protection, notamment.

En fait c'est assez simple: soit tu veux sauter en l'air et c'est la S18, soit c'est pour grimper des falaises, et c'est la S20. Mais si c'est juste pour dévaler des escaliers, les deux vont bien!

Sous toutes réserves (car je n'ai pas franchi le pas, ayant déjà l'équivalent avec mon Jelly Pro...), cette montre est plutôt à considérer comme un mini appareil Android autonome que comme une montre connectée, et même si elle peut plus ou moins collaborer avec l'éventuel super smartphone protégé au fond de la poche, elle peut aussi s'en passer totalement. Si elle n'est pas équipée d'une carte SIM, elle doit effectivement pouvoir être raccordée en wifi avec le smartphone comme point d'accès, par exemple, pour sa connectivité à l'internet.

Pas la KS 18L, ici, mais la KS S18, et sur de très nombreuses mesures comparatives entre les distance mesurées par la roue d'une part et par mes divers GPS d'autre part, la différence se situe à 2%, ce qui n'est pas énorme.

Oui, j'étais étonné aussi, à mes tous débuts avec une 14 pouces chinoise également, de voir avec quelle facilité elle me faisait grimper des petites pentes où ma trottinette jetait le torchon... Le danger est ailleurs et n'est pas loin, du fait de la vitesse max rapidement atteinte, un zone où la wheel ne récupère plus son pilote s'il lui demande un tout petit chouia de plus, surtout si la batterie est déjà un peu déchargée!