Techos78

Le nouveau permis explicite un peu ces appellations AM, A1, A2, A à l'aide de silhouettes dessinées :

Tiens, @Ebikeadventure, un truc que tu dois connaitre, une compète de vélos allongés, + ou - carénés : Je suis quand même un peu surpris, ce mélange 2 roue et 3 roues, ce ne sont quand même pas les mêmes catégories...

Un conseil, pas pour @Ender68 pour qui c'est trop tard, mais pour tous les autres : réfléchissez bien avant de vous précipiter sur un upgrade. C'est simple, si vous êtes content de votre roue (que vous avez amoureusement déverminée sur des milliers de km) et que la nouvelle version ne propose pas l'amélioration qui fera (?) votre bonheur, eh bien abstenez vous. Je vous donne un exemple, en citant (en toute amitié) @spiken qui après avoir upgradé sa v11 ne reçoit plus les informations sur sa montre, ce qui prouve que les données et/ou le protocole bt a changé. Hop, une montre à la poubelle, sans espoir de retrouver une équivalente qui dialogue directement avec la roue. Les ventes de kleenex sont en hausse...

Salut @ydikoi , J'ai participé 6 ou 7 fois à cette rando, il y a très longtemps. A cette époque, ça démarrait Place d'Italie, pour remonter Bd de l'Hôpital, qui, ça n'a l'air de rien, descend, ce qui est relativement rédhibitoire pour les débutants. En clair, il est indispensable de bien savoir freiner, si possible sans le frein de talon (pour pouvoir croiser, descendre les trottoirs...), et maintenir un déplacement assez rapide y compris sur les pavés... de plus, les routes parisiennes sont souvent merdiques, avec des trous, des séparateurs de voies bus ...etc. En terme de dépense énergétique, c'est plutôt cool, on bourre sur 500m, on s'arrête 5 mn, on bourre sur 500m... and so on. On pourrait penser qu'il faut le faire à plusieurs... c'est sympa mais dans la foule il est difficile de se suivre, et il est important de ne pas créer de bouchon car il y a des patineurs hyper rapides qui vont dans tous les sens (même en marche arrière ). D'ailleurs, il faut souvent patiner en limitant l'amplitude pour ne pas interférer avec un quidam. Tout cela est excellemment bien encadré par des fdo à rollers et des volontaires qui bloquent successivement les carrefours principaux, ce qui fait bien sûr gueuler les automobilistes et qui oblige à condenser le peloton. En gros, il faut un bon niveau de patinage, et ce n'est pas "la grosse éclate" car faut rester vigilent et discipliné. Pour les banlieusards comme moi, cela obligeait à prendre la bagnole car cela se termine généralement après le dernier rer. Je viens juste de voir la réponse de @Ryushinkei . Bendidon, c'est devenu la misère, 50 patineurs , à "mon époque", c'était toujours 10 fois plus.

<HS> Le wobble est à la roue ce que les grumeaux sont à la pâte à crêpe : une plaie absolue. Il s'agit d'une résonance composite aux conséquences calamiteuses lorsqu'elle diverge. En physique, le plus souvent, une résonance est liée à 3 paramètres : -- un élément souple -- une masse -- une cinématique qui engendre et/ou entretient la vibration. A ce jour (mais ça change toutes les semaines) mon opinion est la suivante : -- le wobble est une rotation oscillatoire de l'axe de roulis, l'engin pivote autour de son centre de gravité selon la ligne de foi de l'engin. -- l'élément souple est le pneu qui se couche -- la masse est le moment d'inertie en roulis -- l'entretien de la vibration est dû au profil du pneu : la zone de contact au sol subit une torsion en cap car le diamètre du pneu diminue sur les bords, ce couple en cap est transformé en rotation en roulis par réaction gyroscopique de la roue. -- en principe, l'asservissement en tangage est suffisant pour aplanir un éventuel mouvement en ∞ . -- l'élément déclenchant est une irrégularité de la route et/ou une hésitation du pilote (débutant...) -- le pilote agit en tant qu'élément perturbateur, en essayant de contrer l'oscillation, mais une pression différentielle sur les pédales ou la coque n'agit que de manière indirecte sur le roulis à cause de l'effet gyro. Cependant, une modification de vitesse, raideur ou contrainte agit quand même sur la vibration, chacun peu concocter sa propre recette. En résumé, pour moi, j'implique principalement le pneumatique qui, par sa hauteur, son profil et sa raideur crée et entretient le phénomène. Je pense qu'un pneu extrêmement mince (comme un vélo course) n'est pas sujet au wobble. Ce serait difficile mais pas impossible à vérifier. D'ailleurs, hier, avec mon pneu actuel raide et pointu je traverse Milon-la-Chapelle sans solliciter un quelconque sphincter. Le pied. Désolé, je n'arrive jamais à être concis... si ? .

Entre autres, moi et ma moto sommes entrés à l'intérieur d'une voiture, sans ouvrir la porte. J'ai eu toute l'épaule à vif, le blouson était impec .

Ta vidéo est trompeuse, on a l'impression que tu restes debout... Même bien protégé, on peut avoir la peau qui s'arrache par glissement épiderme--derme...

Salut @Fred1979, soit bienvenu sur ce forum. Je te répond bien que ne connaissant rien aux trottinettes. En gros, tu nous dis : ma roue avant bloblote, pourquoi ? Je ne veux pas être pessimiste, mais il va falloir astiquer les boules de cristal... Plus sérieusement, oui, c'est une anomalie, la première étape est de bien analyser si c'est : -- l'axe qui bouge (car mal serré...) -- la roue qui bouge sur l'axe (roulements calamiteux, précontrainte mal réglée...) Il y a toujours un peu de jeu (certains dise qu'il faut de la place pour l'huile ), mais pas trop, surtout si cela perturbe le freinage. Bon courage.

La roue donne la tension batterie et le courant batterie ou bien le courant d'une phase moteur. Le moteur est énergisé à l'aide d'une modulation de largeur, il faut en principe que les mesures soient synchrones et filtrées pour avoir des valeurs efficaces, et non pas pics, moyennes ou autre. EUCworld bricole avec ces valeurs pour bidouiller une valeur de puissance qui, à mon avis, est aussi utile que des patins à glace à Ouagadougou. Je ne suis pas en train de dire que EUCworld est une merde, simplement cette appli fait ce qu'elle peut avec les données dont elle dispose. On peut essayer de faire le ratio entre la puissance calculée et la puissance théorique de la roue... Bon Dieu mais c'est bien sûr comme aurait dit le commissaire Bourrel, sauf qu'il serait insensé de se baser là-dessus pour conserver ses incisives...

Juste pour causer. Un pack peut se charger par l'entrée. Celle-ci est peut-être munie d'une diode schottky d'anti-retour, et probablement d'un mosfet pour la protection extrême, généralement à 4,28V ±50mV. Certaines roues récentes utilisent ce même mosfet pour une gestion "intelligente" des packs entre-eux. MAIS, un pack peut aussi être chargé par la sortie. Là, on n'a plus la protection extrême bms, car c'est à la cm de gérer le mode régénération. Mais ça se complique : les anciennes roues n'avaient pas la brochette de mosfets pour couper la sortie, comme sur les packs génériques. Mais comme c'était trop simple, certaines nouvelles roues ont remis cette coupure, pour gérer le courant max et aussi la gestion "intelligente" que le firmware impose. Je ne suis pas forcément contre une gestion prolixe et sophistiquée.à condition bien sûr qu'elle soit documentée correctement. Mais ce n'est jamais le cas, le seul discours c'est : "faites nous confiance". Ouais, ouais.

Oui, mais de manière proportionnelle, alors qu'un piston résiste de + en +, le dernier mm demande un effort quasi infini. Dans certains cas, un ressort peut déroger à sa loi linéaire grâce à quelques spires à pas variable :

La chambre positive est en bas, elle a une pression plus élevée car c'est elle qui supporte le poids roue+pilote. La chambre négative est en haut, elle s'oppose à la chambre du bas, elle "retranche" partiellement la pression mise en bas car elle augmente le sag. Chaque chambre a une fonction Enfoncement=f(Effort) exponentielle et c'est en les mettant en opposition que l'on linéarise (partiellement) l'ensemble. C'est un peu pénible de devoir gérer ces deux pressions, de ce point de vue, un simple ressort est bôôôcoup plus pratique car linéaire par nature. Mais il existe maintenant des amortisseurs à gaz automatiques avec une seule valve, malheureusement la v11 ne pourra jamais en bénéficier. Attention, les roues avec amortisseur déporté sont "à l'envers", chambre positive en haut. Concernant l'ordre de mise en pression, c'est, selon les critères Inmotion, le bas (le positif) d'abord, la pression est ajustée à la valeur voulue quand la roue est détendue en butée haute. Puis on met la pression négative en haut, principalement pour régler le sag (l'enfoncement) désiré, généralement autour de 30 ou 40% du débattement.

J'utilise volontiers des termes provocants... La définition de "bled" est "Lieu, village isolé, offrant peu de ressources.", et "paumé" est pléonastique mais l'expression bled paumé est classique. Aucune notion de mépris dans tout cela, @dro77 a bien raison de défendre son carré de verdure. . Je confirme que le sav du lieu ci-dessus évoqué m'a dépanné efficacement en changeant la carte mezzanine, le µcontrôleur étant en état de mort cérébrale. L'accueil a été excellent, la réparation a nécessité un peu de délais, mais de manière raisonnable. Un (petit) gag quand-même, dont le sav n'est que partiellement responsable : une fois chargée, la roue a refusé de démarrer. La faute à la carte dont la mesure de tension est fausse de +2 Volts, ce qui met la roue en alarme. J'ai eu la flemme de retourner dans le charmant village verdoyant, j'ai simplement baissé la tension du chargeur. Par la suite j'ai appris que Inmotion peut à distance recalibrer sa mesure de tension. Ouais, IM se fout quand même du monde en mettant en circulation des cartes non calibrées. Mmmhh, oui, mais moyennant une brochette de gérants successifs... (Là encore, aucune agression dans mes propos.)

J'imagine en effet que ça doit limiter le soufflage, et on peut essayer de dégonfler doucement. Je me suis aussi fait piéger, en recevant sur les doigts un volume ~3 grains de riz de liquide très clair et peu visqueux ressemblant à de l'eau. Mais ce n'en est pas, même si certains réservoirs d'air sous pression ont des problèmes avec la condensation. Il faut demander à @King Size ... Remarque : le dégonflage des chambres positives (en bas) est impératif pour remettre la roue dans son carton de transport.

Oui, il y a un peu d'huile hydraulique pour lubrifier le piston entre les deux chambres et le joint spi. Le mieux, c'est de dégonfler les chambres positives la tête (de la roue) en bas.

Euh, à ma connaissance il y a belle lurette que Eroue n'est plus quai de la tournelle, mais dans un bled paumé dont j'ai oublié le nom bien que j'y soit allé une fois. Même le gps Garmin se goure d'adresse, car il y a une même rue dans deux communes adjacentes.

@Pepper : oui, les montres qui peuvent faire tourner Androïd supportent les applis EUCwolld ou autres. Voir les topics dédiés. Perso j'ai testé, ça marche mais les boutons sont trop petits pour être actionnés commodément. Un simple conseil : dans un forum, avant de déclarer "j'ai trouvé un machin...", il faut lancer une recherche. Dans le cas présent, le mot clé "lemfo" donne 5 pages de liens.

Non. Les montres connectées sont destinées à se connecter à une tablette via bluetooth, leur firmware demande et récupère les données qu'Androïd possède afin de les traiter et les afficher. Ces montres ne peuvent pas dialoguer directement avec une roue car même si les dialogues ble sont standards, les données sont spécifiques aux différents constructeurs et malheureusement très évolutives aussi. Montre hackable signifie que l'on télécharge une appli spécifique dans la montre afin de la rendre autonome, et ce n'est possible que dans trèèèès peu de modèles. (voir au début de ce topic). Je vois tardivement ce post de mon homologue Saint-Rémois. Menfin, quelle drôle d'idée d'upgrader un firmware qui marche . Eh bien moi qui suis très inertiel, ça marche encore, la-la-lè-reeeuuu !.

Il y a 100 ans, Harold Lloyd's , Buster Keaton ... des grimpeurs/cascadeurs étonnants. Exemple :

Perso, je n'était pas hyper stable en freinage et surtout en descente avec le pneu d'origine. A un point tel que, dans une pente de -8 à -10% je ne pouvais pratiquement pas dépasser 20-22 sur route un poil ondulée ou déversante. Après 11000km de cette situation désagréable mais gérable, mon passage au Pirelli Angel (routier raide et pointu) a bien amélioré la situation, en tenue de route et en moral, je peux désormais mettre 10km/h de plus dans les mêmes endroits critiques. Ceci dit, un vieillard ça sucre les fraises, je ne suis donc pas forcément une référence en terme de stabilité.

Bienvenue, @ydikoi . Sympa, ton pseudo, je me demande d'ailleurs si le caractère ? est permis... Oui, le temps d'apprentissage est proportionnel à l'âge, la première étape étant d'aller de A à B en gardant un rythme cardiaque raisonnable. Bon apprentissage, et le conseil habituel : pas (trop) d'acharnement, des cessions courtes, laisser le corps acquérir les lois de contrôle, et laisser la tête modérer l'envie de jeter le truc à la poubelle...

Oui, la suspension c'est sympa, mais il faut rester un peu vigilent quand même. Pour preuve, ma dernière (petite) gamelle : j'ai tapé sévèrement un ralentisseur, sans plier les jambes ce que je fais pourtant d'habitude = choc/décollage avec déplacement des pieds vers l'avant. Impossible de ralentir (vitesse ~20) et grosse instabilité wobbulante. Après 50 mètres dans cette situation (pénible), j'ai choisi de coucher la roue en m'asseyant sur la route (personne en face !). Aucun bobo roue/pilote, sauf le bouchon de suspension qui a décapé le bitume. J'ai vérifié, ce ralentisseur est hors norme, anormalement brutal, mais je ne critique pas la commune de Gif-sur-Yvette, c'est de ma faute, j'étais trop distrait. A posteriori, je me dis qu'il était peut-être possible de replacer chaque pied mais c'était trop instable pour engager une séance de one-foot. Donc il faut toujours garder un bon niveau de vigilitude, en évitant de roupiller benoîtement. .

Il faut voir cette marge comme étant le rab de taux de modulation applicable au moteur (le brushless est piloté en courant). Eh bien il n'est pas possible de connaître ce taux de charge qui n'est pas inclus dans la table de sortie du bluetooth, on ne sait donc pas si on est à 60% ou à 99,9%. Parce que, bien sûr 105% n'existe pas (contrairement au budget de l'état ). Perso, sur cette roue, mon instinct de conservation m'a toujours conseillé de modérer ma vitesse en montée, un petit 20 me va bien, sachant que quand on grimpe on est sur les orteils ce qui est un tantinet moins stable. Mais je suis un grand-père craintif...

Remarque intéressante, car même s'il y a la grosse cavité dessous (vide poche/pluviomètre), il est peut-être possible (?) d'aller au fond en talonnant... Il me semble qu'un quidam a perdu cette poignée...

Il ne faut pas parler de pack en série... et pas non plus de pack en // comme la ks16s. Il n'y a pas de terme franchement consacré à cette configuration, perso j'utilise "pack en cascade" ou, pour faire rigolo, "pack à la queue leu leu". Concrètement, le port est connecté à l'entrée d'un premier pack dont la sortie est connectée à l'entrée du second pack, dont la sortie est connectée à la cm. En gros, c'est comme ça : Là, c'est la ks18A, la ks16b est à peu près pareil, sauf qu'il n'y a qu'un seul fusible, sur la cm. Cette ancienne disposition est abandonnée (ouf), il y avait les inconvénients suivants : -- les deux packs n'ont pas la même connectique -- la gauge des fils n'est pas homogène -- sachant que chaque pack a quand même sa diode anti-retour, cela veut dire qu'il n'y a qu'un seul pack qui se recharge lors de la régénération (c'est mauvais en montagne). A part cela, le fonctionnement est assuré. Un "détail" déplaisant, les packs livrés avec la première série de ks16b n'avaient pas de fonction équilibrage : Oui, rien du tout dans les cadres jaunes... je m'abstiens de commentaire pour ne pas devenir vulgaire. Donc c'est la protection ultime qui coupe la charge en ouvrant les mosfets en bleu. Les diodes anti-retour (en //) sont en rouge. En toute rigueur, le chargeur devrait tenir compte de la tension directe de ces diodes (~0,4V), mais ce n'est généralement pas le cas. Pour ceux qui se demandent ce qu'est la protection ultime (overcharge protection), je republie ce tableau : Cette protection nécessite les mini-comparateurs+mosfets à côté des cadres jaunes, ils sont câblés en "OU Fantôme" pour résoudre la translation de tension et tout couper dès que la première paire de cellules atteint 4,28V. Edit : bon, je ne veux pas être pessimiste, mais l'analyse de @nrvfromcnr est malheureusement pertinente. Perso, c'est au bout de 14 mois qu'un de mes packs à "perdu" deux paires de cellules. (donc ~8V). C'est pour cela que j'avais ouvert un pack, pour découvrir une circonstance aggravante : le marquage des cellules démontre qu'elles ne font pas partie de la même série, ce qui est rédhibitoire quand on n'implémente pas la fonction équilibrage. Vous pouvez constater que je n'ai pas utilisé le mot "charlatant".