Non plus, c'est une opinion basée sur une expérience limitée à la KS-18L 😉
La gestion de l'éclairage automatique est bonne, voire très bonne sur la KS-16S, meilleure que sur la 18(X)L en tout cas : la cellule photosensible est moins bien située sur ces dernières. Les sous-modes inutiles ne sont pas moins dispensables, il suffit de ne jamais les utiliser.
La gestion de l'éclairage automatique est un peu moins bonne sur la KS-16X que sur la 16S, mais meilleure que sur les KS-18(X)L. Là encore, question de position de la cellule. Quant à la gestion des sous-modes, elle est très simple et concerne l'intensité et l'orientation de l'éclairage avant (phare, croisement, position). Une simple pression sur le bouton physique permet de permuter. L'éclairage arrière est indépendant et permanent, il n'y a aucun risque de le désactiver par erreur ou agacement.
Sauf erreur, c'est la gestion de l'éclairage de la KS-16X qui a été retenue pour la KS-S18. Perso je trouve que c'est le meilleur choix possible.
Évidemment, rien n'empêche de protester contre la faiblesse de luminosité du phare arrière de la KS-S18, qui est purement esthétique et non utilitaire. Mais comme bon nombre de wheelers semblent s'intéresser à la S18 seulement pour son esthétique audacieuse et avantageuse, je pense qu'il y aura peu de protestation de leur part à mettre en valeur le cul amorti de leur chérie, juste histoire de faire envie aux piétons 😉