Techos78

Il y a un truc qui me perturbe un peu sur ces bms : les bandes nickel des cellules sont connectées à la carte à l'aide d'une rafale de soudures par points. Je ne dis pas que c'est mauvais, mais simplement que je n'ai jamais vu ça, et je suis inquiet pour l'état de la zone d'accueil en cuivre (35 ou 70 µm d'épaisseur, probablement étamé rohs)... Ouais, c'est quand même un peu osé...

Sans vouloir troller, il faut admettre que cet axe V8(s) n'est pas une réussite, car (sur les roues un peu anciennes), il a aussi tendance à se dessouder/désertir des flasques internes. Cette rupture d'axe est malheureusement très fréquente, le poids pilote exerce un effort colossal sur le bout d'axe, qui subit aussi l'effort de serrage de l'écrou... J'appelle ça l'effet décapsuleur, c'est une horreur mécanique. Gotway avait le même système, avec des clavettes qui se déforme ...etc. La vibration du moteur n'est pas une cause, mais une conséquence. Les méplats de bout d'axe sont horizontaux, donc on a une amorce à la rupture "idéale", la quantité de matière est très faible du côté des fils, d'où crac boum mais pas hue comme n'a pas dit Dutronc. Il est extrêmement satisfaisant que IM ait revu sa copie, avec des porte-pédales fendus, et j'espère que les méplats sont verticaux (comme les MTEN). Franchement, en cas de changement moteur, il faut choisir la dernière version, même s'il faut acheter aussi les porte-pédales.

En terme juridique, on dit : la garantie Leaperkim est cessible.

A priori, cela ne concerne que les vélos avec freinage sur jante, ce qui est relativement démodé.

Salut @Sonoa otta, bienvenue, tu es très courageux de te lancer là-dedans. Bon, tu dis avoir tenté de charger une demi-batterie de S18... rassure nous, tu as bien utilisé un chargeur 42 Volts ? Cette histoire de demi-batterie arrière est pénible, et certains membres ont déjà transpiré là-dessus, fais des recherches sur le fofo, mais tu auras probablement des réponses car tu as posté au bon endroit. Bon courage.

Cela me rappelle (j'en ai les yeux qui mouillent) d'une gaffe orthographique : la balade avec 2 L. J'ai gentiment été recadré, et il est totalement exclus que je reproduise cette bévue. Cela démontre qu'il y a certains neurones qu'on arrive à usiner, mais ce n'est pas toujours le cas...

Petite question : c'est quoi un chinion ?

Marty-Roger, une paire complémentaire : -- un infatigable bavard, très obstiné (endurance) et fortuné, -- et un compétiteur hors pair toutes catégories, il me semble (?) qu'il organise certaines rencontres sur circuits. C'est très beau, mais quand même un peu lassant au bout de 10 minutes...

Si la roue est penchée (roulis) lors de la calibration, il y a un piqué/cabré (tangage) fugitif et c'est normal. Cela vient de la double boucle d'asservissement : une boucle rapide qui annule la rotation angulaire des gyromètres, et une boucle lente (hybridation) basée sur les accéléromètres pour recaler la verticalité. Quand on tourne (cap), les gyros additionnent immédiatement l'angle parasite de roulis, ce que les accéléros annulent doucement, à environ 4 degrés par seconde. Quand on calibre l'assiette de la roue, on compense aussi les biais des accéléros, dus aux tolérances de fabrication. On peut voir en page 13 MPU-6000 que ce biais peut atteindre 3°.

Oui, @King Size a raison. Laisse en charge 24 heure ou plus, il est possible (?) que ce défaut disparaisse.. Cette détection de cellule(s) en dessous de 2,5V s'élimine quand on atteint 3V... hélas, il n'est pas évident que le bms y arrive si la cellule s'est désactivée (auquel cas elle affiche 0V). Bonne chance...

C'est probablement le défaut classique qui apparaît quand tu règles l'angle de tangage avec un angle de roulis non nul. Il faut impérativement que la roue soit bien verticale quand tu calibre tes pédales.

Plaisir réciproque, sans aucun doute... Tiens, ça me rappelle (il y a 1 siècle) mes tentatives de pilotage rapide dans ma Renault 17, avec moult talon pointe qui consistait à appuyer sur la pédale de frein tout en relançant le moteur avec le talon sur la pédale d'accélérateur et en appuyant la pédale d'embrayage afin de "rentrer" une vitesse. Faut admettre, 3 pédales pour 2 pieds, euh, c'est pas le pied. Ah là là, maintenant je me traîne en Spring électrique, ouf, 2 pédales .

Pour moi la distinction est simple : un repose pied est passif, une pédale est active, comme un accélérateur, un palonnier (avion) etc. Donc sur une roue c'est une pédale car la moindre action sur ce bidule a une conséquence sur la vitesse. Pour piloter une roue il faut au moins 3 points de contact. Par exemple : -- talon gauche, talon droit, orteils droits -- talon gauche, orteils gauches, tibia gauche (one-foot) -- etc. Les "pédales" doivent avoir une certaine longueur, une simple tige (moto...) ne marche pas, sauf si on s'assoie. (3 points...)

Concernant l'impression 3D des "pédales", je confirme que c'est totalement exclu pour un particulier, quel que soit le plastique utilisé. Le spaghetti fondu collé sur lui-même n'a pas la cohésion d'un nylon massif. Pour un pro, l'impression métal convient, on peut même imprimer des tuyères de fusée... L'avantage : pièces creuses faciles à obtenir.

Même un gros dur bourré de testostérone comme moi (oui, oui) doit admettre que la 16s n'est pas très confortable, avec des faux pads en tungstène mercerisé. Perso, je monte à bord en moins de 8 millisecondes, c'est ma limite supportable en terme de one-foot. Je ne connais pas les points de compression de la médecine chinoise, mais le côté du tibia me met tout de suite 12 sur une échelle de 1 à 10.

Quand je vois toutes les trotts vendues dans les "grands magasins", j'imagine qu'une boutique planquée dans un improbable bled même pas connu par Tomtom (vécu), eh bien ça ne doit pas être la joie...

Bravo, belle mémoire. Effectivement la première série de ks16b n'avait pas de composants d'équilibrage, un pack est mort au bout de 14 mois (hors garantie...). Par la suite, ks a quand même rectifié cette connerie : la + ancienne est dessus. Donc il y avait juste les composants pour détecter lorsqu'une cellule atteignait 4,25V (?), ce qui bloquait la charge à l'aide des mosfets en haut à gauche. En haut à droite ce sont deux diodes schottky anti-retour. Remarque, les connecteurs ne sont pas identiques car les packs sont branchés en cascade. Le connecteur T est côté port (petite section).

Euh, ptetbinkoui, ptetbinknon, je n'ai pas d'avis, mais cette vidéo lutte contre ce qui pourrait être une légende urbaine : Il est parfaitement évident qu'il n'y a pas la rangée traditionnelle de composants pour bypasser chaque groupe à l'aide d'une résistance 100 Ohm (marquage 101). Mais, ce n'est pas la seule méthode, et il y a des puces bizarres qui pourraient bien, peut-être, éventuellement, faire des trucs... A moins qu'elles soient là juste pour faire joli ?

Salut @Gyro0515. Bienvenue sur ce forum. Et justement, comme c'est un forum, c'est à dire un endroit "où l'on cause" de nos engins (certes, de manière + ou - futée), cela le distingue d'un site de vente. Bon, il y a effectivement une rubrique dédiée aux transactions entre membres, mais il y a une petite condition : il faut d'abord avoir écrit une dizaine de commentaires pour pouvoir y accéder. Voili, voilou, yapuka...

Dans certains cas, une chute même involontaire peut faire rigoler les spectateurs : Comme disait Devos, celui qui prête à rire n'est jamais remboursé.

Bah, inutile d'aller très loin (de Paris, centre du monde ?) pour trouver des conditions pénibles pour un vélo ou un edpm. Sans parler des beaux tronçons qui débouchent sur que dalle. J'ai en tête certains quais de Seine qui ne sont pas du gâteau. Avec le recul que me donne mon grand âge, je vous confirme que la situation s'améliore, souvent grâce aux associations cyclistes. Dans 200 ans ce sera au poil (si on a encore du budget... ).

Ces claquements sont quand même très perturbants. Ca me semble plausible qu'un mauvais montage puisse créer ce défaut. Tous les roulements sont spécifiés en mésalignement, c'est à dire l'angle parasite maximum entre la cage et l'arbre. Dans certains cas, si cet angle est trop grand, il faut des roulements spécifiques. Là, le diamètre est grand et les billes sont petites, je suppose donc qu'il faut une géométrie très soignée. Si un roulement est monté de travers, les billes devront rouler en bord de gorge, ce qui créera une contrainte croissante, puis une libération sonore quand les billes "dérapent" vers le creux de l'ornière. Un démontage/montage doit effectivement éliminer le défaut, il n'est probablement pas nécessaire de changer les roulements (roue quasi neuve), mais il faut bien sûr une absence de copeau et un emmanchement sérieux.

Ce que tu montres est a priori un bus i2c, qui sert à tester/programmer le µcontrôleur et éventuellement le senseur gyro+accéléro 3 axes (ils sont souvent chaînés). Pour chanstiquer ce bus il faut un émulateur et une connaissance parfaite de la conf hard/soft. Donc pas touche. Tu peux quand même regarder au voltmètre le 3,3V, qui est la tension du µcontrôleur, elle est souvent réalisée à partir du 5V à l'aide d'un mini convertisseur spécifique. Vérifier les alims est effectivement une bonne base de départ. De mémoire, le poussoir ON possède sa propre paire de fils avec un petit connecteur. Au dessus du phare, il y a effectivement une carte avec la gestion les leds de charge, l'alim des leds périphériques et l'émetteur bluetooth (qui ne peut évidemment pas être dans le sarcophage métallique). Cette carte reçoit du 5V et un bus série bidirectionnel. Le phare a ses propres connexions, un peu renforcées. Après avoir vérifié le 3,3 et le 5V, il est probablement utile de vérifier le poussoir ON/OFF. C'est un minuscule cloqueur sur la carte, avec la touche plastique qui appuie dessus, la fiabilité du truc me semble un peu limite... Edit : ouille, je viens de voir toutes les réponses au-dessus, mes commentaires ne servent donc à rien. Bon courage.

Diable, en effet. Voilà un défaut rarissime, une pré-contrainte en biais entre roulements ? Les billes font des strikes ? Excellente vidéo, le remontage au maillet fait un peu peur, on peut lui préférer une tige filetée à travers le moyeux avec des grosses rondelles. C'est important, car les flasques se mettent en parapluie. Tiens, voilà un gag qui m'est arrivé, mais là le claquement était à chaque tour de roue, à cause d'une bavure de silicone à l'intérieur du moteur, qui est un vrai tambour. https://www.espritroue.fr/uploads/monthly_2019_06/VID_20190623_143903.mp4.fc3c49800f302bcee76344d042c92655.mp4

Faire glisser vers le haut les 2 carters de selle après avoir retiré les 2 vis fraisées en bas et les 2 vis épaulées sur les côtés. Ne pas toucher à l'axe des pédales mais retirer chaque bloc support, 6 vis btr, la paire au centre nécessite une clé allen courte car alignée avec la pédale. De préférence, dégonfler les pistons en bas, car la butée interne est en pression haute dans la lumière du rail de glissière. Dévisser la fixation du piston en haut, la selle peut être retirer vers le haut (après avoir débranché le fil du poussoir anti-spinning). Surtout ne pas désassembles l'étrier du haut de selle, les vis sont caractérielles/foireuses. Maintenant, le sarcophage est accessible, 8 vis et l'huître s'ouvre. Si tu débranches les batteries, il faut couper les liens Ty-Rap. Pour remonter, tu peux retirer la mezzanine, car les liens passent à travers. Mais si tu es habile et patient, ce n'est pas forcément nécessaire... Pas de souci au remontage, tu peux donner un quart de tour à l'élastomère de butée, et il faut que la suspatte soit au bon enfoncement pour que cette buté s'engage dans la lumière du rail de glissière (limitation de débattement haut et bas). La première fois, prévoir 2 heures eu un champ opératoire conséquent. Edit : en méca, une lumière est un trou terminé par deux demi-cylindres.